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Risque de contrôle multiplié pour les Arabes et les Noirs

Selon "Open Society", dans des lieux publics, le risque d’être contrôlé est multiplié par six lorsqu’on est perçu comme "Noir" et par huit quand on est vu comme "Arabe".

Les étrangers et les minorités souffrent souvent plus de l’humiliation et de la violence des contrôles que de leur seule fréquence.

C’est ici :

Les contrôles au faciès sont-ils condamnables ?, s’interroge le journal LE MONDE…

Et l’éditorialiste, Didier Fassin, de conclure que « le moment est peut-être venu de considérer ces pratiques intolérables - et donc condamnables. »

« le moment est peut-être venu »…

Ah, bon ? Cela doit-il faire « débat » sarkozien ? On « discute » de l’alléguée « supériorité » de la race blanche - de peau - maintenant, en France ? Et pourquoi pas de celle du « sang bleu » des aristos, tant qu’on y est, celle qui était en vigueur avant la révolution ?

Il est certain qu’un « débat » sur ce thème, auquel participerait la droite et l’extrême droite, distrairait opportunément du RESTE. En particulier, en France, du chemin en pente raide qui va vers la dette (aux banques),. Comme en Grèce.

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L’Avatar du journaliste - Michel Diard
Michel Diard
Que restera-t-il du quinquennat de Nicolas Sarkozy, le président omniprésent dans tous les médias ? Cet ouvrage dresse un inventaire sans concession des faits et méfaits de celui qui se présentait comme l’ami de tous les patrons de presse et a fini par nommer les présidents des chaînes de l’audiovisuel public. Le "sarkozysme" a largement reposé sur un système de communication proche de la propagande, digne des régimes les plus autocratiques, à la limite de l’autoritarisme. Le système (…)
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La contribution la plus importante d’Obama a été d’embellir, de vendre à l’opinion publique et de prolonger les guerres, et non de les terminer. Ils l’ont bien vu pour ce que sont réellement les présidents américains : des instruments permettant de créer une marque et une image du rôle des États-Unis dans le monde qui puissent être efficacement colportées à la fois auprès de la population américaine et sur la scène internationale, et plus précisément de prétendre que les guerres barbares sans fin des États-Unis sont en réalité des projets humanitaires conçus avec bienveillance pour aider les gens - le prétexte utilisé pour justifier chaque guerre par chaque pays de l’histoire.

Glenn Greenwald

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