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Hollande amnésique, Montebourg humilié, Ayraud berné, patron arrogant...

Pourquoi il faut nationaliser le site de Florange 

Le 24 février 2012, en pleine campagne présidentielle, le candidat François Hollande effectuait une visite surprise à Florange et déclarait être "prêt à déposer une proposition de loi" obligeant à céder des unités de production à des repreneurs.

"Quand une grande firme ne veut plus d’une unité de production et ne veut pas non plus la céder", il faut qu’elle en ait "l’obligation pour que les repreneurs viennent et puissent donner de l’activité supplémentaire", a-t-il déclaré.

Aujourd’hui, les salariés et leurs familles attendent la nationalisation du site de Florange afin de pouvoir maintenir leurs emplois.

Ils ont besoin de votre aide ! Signez cette pétition en cliquant sur ce lien, et diffusez-la le plus largement possible :
 
http://sauvonsflorange.wesign.it/fr

"Je viens devant vous prendre des engagements (...) Je ne veux pas me retrouver dans la situation d’être élu un jour sur une promesse et ensuite de ne pas revenir parce qu’elle n’aurait pas été tenue" a déclaré François Hollande.

Or, neuf mois plus tard, la promesse n’est pas encore honorée. De plus, le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault, alors conseiller spécial de François Hollande, s’est engagé mardi 24 avril 2012 à faire voter par "la future majorité parlementaire de gauche" une loi obligeant les groupes industriels à céder les usines "rentables" qu’elles voudraient fermer en France sans pour autant accepter de les vendre.

Il y a urgence. Après 18 mois de lutte nous attendons que Monsieur le Président tienne sa promesse et qu’il nationalise le site afin de permettre à un repreneur d’investir. Nous appelons tous les citoyens à soutenir notre démarche en signant cette pétition.
 
Parlez-en autour de vous ! Faites connaître notre combat !

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Chroniques de GAZA 2001-2011
Christophe OBERLIN
L’auteur : Christophe OBERLIN est né en 1952. Chirurgien des hôpitaux et professeur à la faculté Denis Diderot à Paris, il enseigne l’anatomie, la chirurgie de la main et la microchirurgie en France et à l’étranger. Parallèlement à son travail hospitalier et universitaire, il participe depuis 30 ans à des activités de chirurgie humanitaire et d’enseignement en Afrique sub-saharienne, notamment dans le domaine de la chirurgie de la lèpre, au Maghreb et en Asie. Depuis 2001, il dirige (…)
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« Avant, il y avait la tomate. Puis, ils ont fabriqué la tomate de merde. Et au lieu d’appeler la tomate de merde “tomate de merde”, ils l’ont appelée “tomate”, tandis que la tomate, celle qui avait un goût de tomate et qui était cultivée en tant que telle, est devenue “tomate bio”. À partir de là, c’était foutu. »

Inconnu

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