Perdu dictateur (récompense).

C’est déjà désespérant qu’on continue d’utiliser les dénominations "roi", "prince", etc etc, à et continuer à faire semblant de croire que "tous les hommes sont nés libres et égaux en droits", sauf ceux qui ont le sang bleu, que dieu les préserve des hémorroïdes.

"Déjà , on doit supporter les hommes au sang chaud", pensa Don Quichotte, "alors...."
(OK je sors...)

un dictateur est qualifié comme telle selon ces actes, et apparemment jusqu’à maintenant le Roi de Maroc depuis son arrivée a oeuvré plutôt dans le sens opposé. "L’instance équité et réconciliation" ou il a reconnu les années de plomb de HAssan II et indemnisé les victimes, la loi organique de la femmes, la loi organique de la nationalité,... il est vrais qu’il y a des gens qui tendent a comparer le Maroc à la France ou l’Angleterre, et sur ceux le Maroc manque sévèrement de liberté mais comparer au Maroc des année 90 o a n’importe quel pays africain ou arabo musulmans le Maroc a parcourut un grand concours vers la démocratisation.

@mkayen

Oublions ça. Un roi avec de vrais pouvoirs et dont le titre n’est pas qu’honorifique, est toujours un dictateur. Mais il ne faut pas confondre dictateur et tyran comme certains le font allègrement et si fréquemment en occident.

La présence d’un roi est beaucoup plus cohérente quand ce dernier dispose de tous les droit. Le cas contraire est absurde, a quoi bon supporter les millions d’€ de frets si se n’est que pour donner une image.??? je crois que la démocratie est relative aux peuples qui l’exigent, et la monarchie au Maroc comme en Espagne sert de tampon entre les différentes ethnies rivales.

Peut être qu’à la fin, il n’y a plus besoin que d’une image justement, meme une fiction, un mythe

Du mysticisme forcément. Pas un humain, pas un dictateur, pas un dieu humain.

La démocratie est un mythe, la fondation d’une société est un mythe ; un mythe fondateur et destructeur de l’ancien, croire en celle ci c’est se soumettre au mysticisme. La démocratie qui ne montre pas la complexité, ni le déséquilibre des rapports de force dans un monde lobotomisé et dépourvue de compréhension globale du partage quand il n’y a plus de travail.

Des singes contres des singes ? Des singes contre un mythe immense ?

La politique des hommes fut complexe , mais risque de se cristalliser

Le nécessaire suffit au sage.

Prenez il y a tout.