Charles Pasqua a été Résistant, cadre chez Ricard, ministre de l’Intérieur, cofondateur et vice-président du SAC (Service d’action civique), une police politique parallèle faite de nervis qui frayaient avec le banditisme.
Dans son film « Le juge Fayard, dit "Le Shériff" » relatif à l’assassinat du juge Renaud (1975), Yves Boisset évoquait le SAC, ce qui lui valut d’être censuré : un « Bip » vint remplacer le mot SAC de la bande originale.
Il s’ensuivit que, dans les salles de cinéma, chaque fois que le mot « Bip » était prononcé par un acteur, les spectateurs, hilares, s’égosillaient : « LE SAC ! ».
Ainsi, si Pasqua a échoué à « terroriser les terroristes » selon sa formule, il a réussi à faire rire les rieurs. En ces temps de sinistrose obligatoire (voyez Valls, Macron, Fillon, Guéant et choisissez votre croque-mort), on le regrettera, presque autant que Fernandel.
Théophraste R. (critique de cinéma et de guignols).
on le regrettera, presque autant que Fernandel.
Il nous reste quand même B. Cazeneuve.
A i-télé, le pire des politicards de France devient "un monstre sacré de la politique". Cela dit, la mort, il n’y a rien de tel pour éteindre une action en justice.
c’était un « bip » à merde...
Comment toutes ces horreurs de la nature peuvent elles arriver au pouvoir ?.........
Réponse à Pshitt Par les élections, non ?