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Paraguay : quand les domestiques valent moins que les autres (Apublica.org)

Le Congrès paraguayen ne cesse de nous étonner. Après la discussion acharnée que la PEC des Domestiques a provoqué ici (au Brésil NdT), avec un résultat très positif, voyez les membres du Congrès du Paraguay - celui-là même qui a fait tomber Fernando Lugo, seul président de gauche de l’histoire du pays – qui montrent que, là-bas, il n’y a pas de moyen terme quand il s’agit d’égalité des droits.

Mardi 17 mars, la Chambre des Députés a adopté par 37 voix contre 19 le projet de loi envoyé par le Sénat qui établit que les domestiques au Paraguay ont droit à un salaire minimum d’une valeur de 40% en moins que celui du reste des travailleurs du pays.. Vous avez bien compris : les domestiques vont gagner seulement 60% du salaire minimum national - ce qui signifie environ 240 $ - et peuvent également être embauchées à partir de 16 ans, tandis que les autres travailleurs doivent avoir au moins 18 ans.

Le vote a été réalisé à partir de la demande du syndicat de ces travailleuses, qui affirme qu’actuellement, les domestiques ne reçoivent que 40% du salaire des autres travailleurs. Elles voulaient obtenir des conditions d’égalité, tel que le détermine la PEC des Domestiques au Brésil.

[1] PEC : Proposition d’Amendement à la Constitution. Exige un quorum quasi majoritaire et deux tours de votes au Sénat et à la Chambre.

»» http://apublica.org/2015/03/paraguai-domesticas-valem-menos/
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Derrière les fronts : chroniques d’une psychiatre psychothérapeute palestinienne sous occupation
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EN LIBRAIRIE LE 22 MARS 2018 En coordination avec la sortie en salle du documentaire d’Alexandra Dols – Derrière les fronts : résistances et résiliences en Palestine – nous vous proposons en coédition avec Hybrid Pulse le premier livre de la psychiatre et écrivaine Palestinienne Samah Jabr. Le livre ne sera pas disponible en librairie pour le moment mais seulement sur notre site ou par demande par courrier à PMN Éditions. « Nous voulons une vie décente, pas n’importe quelle vie. Notre (…)
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"Une petite fille dans la rue, en robe jaune, qui allait souvent chercher des bonbons et autres auprès des soldats américains. Un jour un char passe et pour une raison inexplicable, un tireur sort du char américain et abat la petite fille. Il y a tellement d’incidents de ce genre"

Julian Assange - Wikileaks
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