RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher
Un collage réussi avec Le Grand Soir

Organiser un collage

Si le collage se fait en voiture :
Les voitures qui participent au collage
Doivent être en règle

De jours de préférence

4 minimum (1 pour coller, 1 pour placer l’affiche, 1 pour porter les affiches, un pour surveiller)si on est plus, renforcer la sécurité plutôt que faire plusieurs équipes de moins de 4.

Pas de carnet d’adresse, de papiers compromettant de couteau ou autre arme

1 pièce d’identité
des fringues qui ne craignent pas les salissures
éviter de se vêtir trop chaudement
un appareil photo discret pour le groupe

Matos :

Colle
½ boite de colle pour ½ seau.
Brosses à main
Panier pour les affiches (plus discret)
Un morceau de tasseau pour remuer la colle (au moment de sa préparation)

Rendez vous de sécurité (si on a pas fixé de rdv de sécurité, revenir au point de rendez-vous que se sont fixés les joyeux colleurs avant de se livrer au terrorisme).

Si on rencontre la police :

Rester poli mais ferme : on a le droit de leur demander leur numéro de matricule si on se sent en position d’infériorité.

S’ils demandent qui est responsable on rigole un bon coup (ça les détend) et on dit qu’on est tous responsables.

Après, impro totale (ne pas hésiter à discuter avec eux mais sans embrouilles). On peut sacrifier le matos mais pas les affiches (une s’ils insistent mais on garde le stock).

Au commissariat :

Un seul mot d’ordre :
« Je n’ai rien à déclarer » (c’est un droit qu’il nous reste) vous n’êtes pas obligés de signer non plus.

URL de cet article 21
   
Ci-gît l’humanité
Meriem LARIBI
Dans ce journal de bord d’une année d’effroi et de désillusion, Meriem Laribi nous plonge au cœur d’une tragédie humaine : le génocide perpétré à Gaza sous les yeux du monde entier. Dès le 7 octobre 2023, elle a entrepris de documenter, jour après jour, l’impensable, tout en dénonçant le rôle des médias occidentaux dans la diffusion d’un récit partial et tronqué, alimentant la déshumanisation des Palestiniens et l’indifférence face à leur sort. L’auteure s’indigne des silences complices et (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Le plus troublant pour moi était la soif de meurtre témoignée par les membres de l’US Air Force. Ils déshumanisaient les personnes qu’ils abattaient et dont la vie ne semblait avoir aucune valeur. Ils les appelaient "dead bastards" et se félicitaient pour leur habilité à les tuer en masse.

Chelsea (Bradley) Manning

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.