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Organiser la riposte

Lettre envoyée par la LCR aux organisations syndicales, associatives (AC !, Apeis, MNCP, CGT chômeurs, DAL et Droits devant) et politiques de gauche dans le but de multiplier les rencontres avec d’autres forces afin de faire le point sur la situation et sur les possibilités qu’émerge une riposte unitaire face aux attaques patronales et gouvernementales.

Cher(e)s ami(e)s, Cher(e)s camarades,

Le gouvernement vient de confirmer de nouvelles attaques contre les salariés et les chômeurs. Pas une semaine ne se passe sans que soient annoncées des contre-réformes libérales qui aggravent les conditions de vie des classes populaires.
Après la réforme des retraites, le gouvernement reprend, aujourd’hui, une des idées-forces de la "refondation sociale" du Medef : la généralisation des "contrats de mission", "de projet", de "chantier", des CDD qui peuvent durer jusqu’à 5 ans.

Des pans entiers du code du travail seront détruits.
En même temps, le gouvernement s’apprête à lancer ses projets de destruction de la sécurité sociale.

Face à l’urgence de la situation, nous pensons que l’unité d’action de toutes les forces du mouvement syndical, associatif, des partis de gauche est un des moyens indispensables pour préparer une mobilisation de grande ampleur contre la politique du gouvernement.

C’est dans ce sens que nous vous proposons une rencontre pour un premier échange de vue sur la situation et sur les possibilités d’action et de mobilisation unitaire.
Recevez nos salutations militantes.

Pour la LCR, Olivier Besancenot
Le 20 janvier 2004

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Donde Estan ? ; Terreurs et disparitions au Pérou (1980-2000)
Daniel Dupuis
La pratique des arrestations illégales, des tortures et des exécutions en dehors de tout procès régulier puis de la dissimulation des dépouilles (d’où le terme de « disparus ») est tristement célèbre en Amérique latine où les dictatures ( l’Argentine de la junte militaire, le Paraguay dirigé par le général Alfredo Stroessner, le Chili tenu par Augusto Pinochet...) y ont eu recours. De 1980 à 2000, sous un régime pourtant démocratique, l’armée du Pérou n’a pas hésité à recourir à la terreur (…)
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Je n’accepte plus ce que je ne peux pas changer. Je change ce que je ne peux pas accepter.

Angela Davis

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