RSS SyndicationTwitterFacebookFeedBurnerNetVibes
Rechercher

Organisation d’une réunion

Dans la famille militer sans molir, je demande la réunion.

Tous les mois s’il n’y a pas d’urgence
Tous les 15 jours s’il y a du travail
Toutes les semaines en cas d’urgence
Ne pas commencer à l’heure (pas + de 20 minutes) et profiter du début pour s’échanger un maximum d’info, celui qui n’est pas au jus d’1 info doit impérativement demander des compléments aux autres. S’il n’a rien à dire il se tait a moins qu’il s’emmerde et dans ce cas il le dit et du coup les autres abrégent ou lui lancent un quolibet, enfin on fait comme on veut.
Quelqu’un de pas bavard et respecté est désigné pour présider la réunion (cela doit tourner)
Rôle du président :
Fixer une heure de fin de réunion en concertation avec les plus pressés.
Annoncer l’ordre du jour.
Enregistrer les points nouveaux à inscrire à l’ordre du jour en essayant de les regrouper au maximum.
Proposer un ordre de priorité des points à l’ordre du jour.
La priorité est donnée en fonction de l’urgence mais peu dans une certaine mesure être modifiée au départ de la réunion à la demande d’un casse bonbon.
Si quelqu’un doit partir tôt, les points sur lesquels sa présence est utile sont traités en priorité.
Plus il y a de points plus il faudra assurer la montre et les tours de parole, tout le monde se responsabilise et tout le monde essaie de pas alourdir inutilement l’ordre du jour. Si un point est plusieurs fois écarté il est en tête de l’ordre du jour de la réunion suivante et on essaie d’être efficace même si on ne trouve pas de solution (ce qui peu paraître contradictoire)
si la réunion nécessite un compte rendu le-a président-e fait un appel au peuple en précisant que seul les décisions sont à noter.
Il faut fixer en gros un temps par point à l’ordre du jours de manière à pas déborder.
Si un grand débat est lancé auquel tout le monde se met à participer, le président patiente un peu et dés que sa pédale un peu propose aux participants de revenir à l’ordre du jours.
On ne fume pas si quelqu’un est contre. Si quelqu’un fume quand même, on s’en fout sauf su tous le monde allume sa clope en même temps.
La distribution des tours de paroles n’est pas toujours nécessaire sauf si on se coupe la parole (ne serai-ce qu’une fois) ou que la parole est monopolisée que par les deux grandes gueules de service. Si un participant demande que des tours de paroles soit organisé, il faut le faire.

Si le temps presse, interrompre la réunion, anticiper l’arrêt des tours de paroles, inscrire tout ceux qui le veulent, demander au prochains orateurs d’être brefs et de ne pas se répéter.
Si le président s’inscrit, il doit le dire à voix haute au moment où il le fait.
Il fait taire gentiment les longs bavardages, les prises de paroles intempestives répétées, les faces à faces qui tournent au rapport de force. Pour les grosses réunion, obligation de s’adresser au président.
Le président fait la synthèse sur ce qui vient d’être dit, répète les rendez-vous et les décisions.

après avoir proposé la fin de la réunion, que tout le monde est d’accord, et que l’on a fixé la prochaine réunion solennellement et fermement, le président déclare que la séance est levée.
Dés lors, chacun fait ce qu’il lui plait. la fin de la réunion n’est pas un moment de séparation (se renseigner sur les possibles festivités post-réunionatoires).
C’est le moment de retrouver ceux à qui on à donné rendez-vous au cours de la réunion pour continuer un débat non clos.

URL de cet article 23
  
AGENDA

RIEN A SIGNALER

Le calme règne en ce moment
sur le front du Grand Soir.

Pour créer une agitation
CLIQUEZ-ICI

Même Auteur
Un nouvel art de militer
DIVERS
Ils sont le visage de la contestation des années 2000. Jeudi Noir, Déboulonneurs, Brigade activiste des clowns, Désobéissants, Anonymous... au-delà des formes traditionnelles que sont la grève ou la manifestation, une nouvelle génération de militants est apparue dans l’espace médiatique et agite régulièrement le cours de l’actualité. Chez eux, pas de chef, pas de violence, pas de longs discours théoriques, mais un goût prononcé pour l’humour et les mises en scènes spectaculaires, et un sens manifeste de (...)
Agrandir | voir bibliographie

 

« Si le Président se présente devant le Peuple drapé dans la bannière étoilée, il gagnera... surtout si l’opposition donne l’impression de brandir le drapeau blanc de la défaite. Le peuple américain ne savait même pas où se trouvait l’île de la Grenade - ce n’avait aucune importance. La raison que nous avons avancée pour l’invasion - protéger les citoyens américains se trouvant sur l’île - était complètement bidon. Mais la réaction du peuple Américain a été comme prévue. Ils n’avaient pas la moindre idée de ce qui se passait, mais ils ont suivi aveuglement le Président et le Drapeau. Ils le font toujours ! ».

Irving Kristol, conseiller présidentiel, en 1986 devant l’American Enterprise Institute

Le 25 octobre 1983, alors que les États-Unis sont encore sous le choc de l’attentat de Beyrouth, Ronald Reagan ordonne l’invasion de la Grenade dans les Caraïbes où le gouvernement de Maurice Bishop a noué des liens avec Cuba. Les États-Unis, qui sont parvenus à faire croire à la communauté internationale que l’île est devenue une base soviétique abritant plus de 200 avions de combat, débarquent sans rencontrer de résistance militaire et installent un protectorat. La manoeuvre permet de redorer le blason de la Maison-Blanche.

La crise européenne et l’Empire du Capital : leçons à partir de l’expérience latinoaméricaine
Je vous transmets le bonjour très affectueux de plus de 15 millions d’Équatoriennes et d’Équatoriens et une accolade aussi chaleureuse que la lumière du soleil équinoxial dont les rayons nous inondent là où nous vivons, à la Moitié du monde. Nos liens avec la France sont historiques et étroits : depuis les grandes idées libertaires qui se sont propagées à travers le monde portant en elles des fruits décisifs, jusqu’aux accords signés aujourd’hui par le Gouvernement de la Révolution Citoyenne d’Équateur (...)
Le DECODEX Alternatif (méfiez-vous des imitations)
(mise à jour le 19/02/2017) Le Grand Soir, toujours à l’écoute de ses lecteurs (réguliers, occasionnels ou accidentels) vous offre le DECODEX ALTERNATIF, un vrai DECODEX rédigé par de vrais gens dotés d’une véritable expérience. Ces analyses ne sont basées ni sur une vague impression après un survol rapide, ni sur un coup de fil à « Conspiracywatch », mais sur l’expérience de militants/bénévoles chevronnés de « l’information alternative ». Contrairement à d’autres DECODEX de bas de gamme qui circulent sur le (...)
103 
Le fascisme reviendra sous couvert d’antifascisme - ou de Charlie Hebdo, ça dépend.
Le 8 août 2012, nous avons eu la surprise de découvrir dans Charlie Hebdo, sous la signature d’un de ses journalistes réguliers traitant de l’international, un article signalé en « une » sous le titre « Cette extrême droite qui soutient Damas », dans lequel (page 11) Le Grand Soir et deux de ses administrateurs sont qualifiés de « bruns » et « rouges bruns ». Pour qui connaît l’histoire des sinistres SA hitlériennes (« les chemises brunes »), c’est une accusation de nazisme et d’antisémitisme qui est ainsi (...)
124 
Vos dons sont vitaux pour soutenir notre combat contre cette attaque ainsi que les autres formes de censures, pour les projets de Wikileaks, l'équipe, les serveurs, et les infrastructures de protection. Nous sommes entièrement soutenus par le grand public.
CLIQUEZ ICI
© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.