J’ai un problème avec Madame Vallaud-Belkacem.
Au début de sa carrière de ministre, la voyant prête à tout saccager et à bouffer du cadavre pour faire carrière, je cédais à mon goût immodéré du jeu de mots en la surnommant "Cobrat", ajoutant "Ben quoi, Cobra, Naja, on va pas pinailler, de toute façon, c’est venimeux."
Puis, j’ai trouvé le même surnom chez des fachos qui s’en servaient uniquement pour la dénigrer en tant que beurette. Ça m’a gâché le plaisir !
Tant pis ! En matière de surnoms, il me reste "l’Aristocrate Hongrois des Années Trente", "Sœur Sarkosène de la Modernitude", "Hélène de Je Fais Carrière et J’en Cause", "Nathalie de Saint-Pass’Moi’l’Cric, Baronne du Parallèle CGT-DAECH", le désormais préhistorique "Petit Oncle du Peuple, Génie du Morvan, Nièvre de la Pensée", et quelques autres, ceux que j’oublie et ceux à venir.
Alors, j’ai appris à me passer de "Cobrat la Venimeuse", Tant pis.