Ménard le vieux, Ménard le jeune : blanc bonnet et bonnet blanc.

Dans les coulisses, les maîtres du jeu agitent démocratie et fascisme, s’en servent, selon leurs intérêts géo et strat&giques, ce ne sont à tout bien y réfléchir que les même faces d’une immonde farce et attrape gogos, cocos et consuméristes occidentaux, d’une monstrueuse mise en esclavage de l’humanité programmée depuis des lustres...
Tandis que des politiques et des journalistes cupides, sans morale, dont le cerveau lobotomisé et panurgisé par la propagande systémique et complétement lavé du moindre recul et scrupule se précipitent comme des mouches sur les étrons de l’actualité bien fumante !
Il n’y a pas qu’à Bézier si celà peut vous consoler Théophraste, dans les alpes maritimes, nous avons deux spécimens bien gratinés !
Le passé nous a appris que toute cette horrible engeance finira assurément dans les poubelles de l’histoire, maigre consolation me direz-vous, cependant que celà ne nous empêche pas de rigoler, c’est si triste et pathétique un dictateur...

Bien que je sois d’accord avec tout ce que vous avez dit sur les dérives fascisantes des partis de droite et de cet homme de main de la CIA qu’est Ménard, je ne peux, par soucis d’équité, m’empêcher de rappeler cette citation de Trotsky de 1917 qui m’a fait également froid dans le dos :

« Nous devons transformer la Russie en un désert peuplé de nègres blancs sur lesquels nous devons imposer une tyrannie telle que le plus terrible des despotes de l’Est n’ai jamais rêvé. La seule différence est qu’elle sera une tyrannie de gauche, pas une tyrannie de droite. Ce sera une tyrannie Rouge et pas une tyrannie blanche.
Nous signifions le mot « rouge » littéralement, parce que nous devrons répandre tant de flots de sang que cela fera pâlir toutes les pertes humaines souffertes lors des guerres capitalistes en comparaison. Les plus grands banquiers du monde travailleront à avoir le plus de contacts possibles avec nous. Si nous gagnons la révolution, nous devrons établir le pouvoir du Sionisme sur les décombres des funérailles de la révolution, et nous devrons devenir un pouvoir avant que le monde entier ne s’effondre à ses genoux. Nous devrons montrer ce que le vrai pouvoir est. Au moyen de la terreur et des bains de sang, nous devons réduire l’intelligence russe à un état de complète stupéfaction et d’idiotie et au niveau d’existence animale…En ce moment, nos jeunes hommes dans leur blousons de cuir, qui sont les fils des horlogers d’Odessa, Orsha, Gomel et Vinnitsa, savent comment haïr tout ce qui est Russe ! Quel plaisir ils prennent à détruire physiquement l’intelligence russe – officiers, académiciens et écrivains !… »

Les idéologues de tous poils sont les pires bouchers que l’Histoire ait pu conter au fil des siècles. Au rang desquels Trotsky, Mao, Staline, Pol pot, Hitler, Mussolini, Franco, etc... ayant tous un point commun : ils étaient de bons paratonnerre pour les détenteurs du Grand Capital leur ayant permis d’accroitre leur pouvoirs et prétentions. Comme les deux faces d’une même médaille. La dialectique en action diront d’autres... une synthèse émergeant toujours des chaos générés par les vrais propriétaires du Capital. Ils sont juste à l’abri des conséquences des politiques qu’ils promeuvent.
Y-a-t’il plus grand cynisme sur terre que celle des ces dynasties consanguines dégénérées ?
Je ne pense pas.

Quand on reproduit une citation de Trotski, comme de quiconque, on prend la peine de la situer dans la vie, et l’oeuvre, de l’impétrant. Dans le cas contraire le modérateur a le devoir de nettoyer le débat, par le vide !

Battre et rebattre le fer, LGS s’est le "fer"
Trotsky une autre époque,et Ménard ne sont pas pour le même combat, je crains que Hydro s’est un peu noyé !....

J’aime bien jouer au nommeur, juste pour le plaisir du jeu parce qu’on n’est pas toujours d’humeur à donner une réponse mesurée à tout.
Hydro avance une idée avec un argument compartive
CN46400 propose de réduire au silence son idée et son argument.
Cela s’appelle un combat de coqs.
Pour des êtres censés être intelligent, c’est juste limite.
Hydro peut riposter et me reprocher de le comparer à celui qui veut lui interdire de parler. Son reproche sera juste.
Mais si je les compare, c’est parce que tous le deux partent d’une arrière pensée qu’ils croient juste, l’un l’argumente qu’importe la manière et l’autre la rejette sans rien lui opposer.
Je déclare Hydro, le coq gagnant.

J’avais, moi aussi, il y a déjà quelques années, monté tout un dossier sur Menard et RSF :

RSF et Menard, les dessous de la bonne cause , avec :

- La face cachée de RSF
- Le financement de RSF
- Qui est Robert Menard ?
- Son ex-associé parle de lui
- RSF légitime la torture ?
- RSF et Vénézuela

On se demande en effet, comment les medias peuvent encore feindre la surprise ...

Un peu étonnant que personne n’ait eu l’idée de taper dans Google le début de la "citation" de Trotsky par Hydro, pour en trouver la "source" : celle-ci est puante du début à la fin (où se trouve la "citation").

Cette citation est en effet" puante" et je ne vois pas en quoi une remise dans le contexte changerait quelque chose.....Quand au propos d’exclusion(par le vide) ,ils ne me rassurent guère.....

La "citation" de Trotski n’est ni une idée, ni un arguments, c’est un faux ni plus ni moins et doit être traité comme tel. Seule la vérité peut être censurée, pas le mensonge !

Je suis vraiment surpris de trouver sur le site du Grand Soir la "citation" de Hydro concernant Trotsky !
Comment ce site peut-il laisser passer une telle ineptie "Tirée des « Mémoires » de Aaron Simanovich, un joaillier à la cour impériale de sa majesté le Tsar" .
C’est à la fin de cette page :

https://infomirroir.wordpress.com/2015/08/03/quest-ce-que-le-communisme/

Attention, la lecture en est pénible !
Merci à Raspoutine pour le mode d’emploi de Google !

Si Trotski et ses adeptes n’ont jamais été ma tasse de thé, je ne dirais pas pour autant qu’ils ne m’avaient pas intéressé de tout le temps. Donc j’ai beaucoup lu sur Trotski, de ses propres textes aux textes écrits sur lui, sans jamais rencontrer un texte comme celui que rapporte Hydro
Comme je ne prétends pas avoir tout lu, ce qui relève de l’impossible pour le prétendre même en spécialiste qu’il lui a consacré toute sa vie. Ce texte est, ou bien un faux comme ça arrive souvent aux personnages historiques qu’on surfait en les chargeant de belles choses comme de laides. Ou bien un vrai.
Je prends l’extrême et je suppose que ce texte est vrai. Peut-on le prouver et par quelle méthode ? Il n’existe qu’une seule qui a été extrêmement développé par les Arabes pour prouver les dires du Prophète Mohamed et de ses compagnons, et qui a été reprise par l’Occident et fort exploité par Wikipédia. C’est celle de la référence à des sources fiables recoupées. Lorsqu’on regarde de près, on découvre que la notion de source fiable ne repose sur rien d’objectif, mais de subjectif parce que la source est souvent une personne et non un objet sauf cas où on rapporte une étude scientifique d’une personne et non pas une opinion, une vue, un témoignage, un rapportage, etc. La notion de source fiable est une notion trompeuse, et tout le monde peut en user pour tromper au même temps que peuvent se tromper des personnes intègres et sincères.
Quand surgit un sujet comme celui qui je viens d’aborder, il ne trouvera jamais de solution et restera un sujet de controverses surtout si l’histoire l’a déjà couvert de son manteau noir.
Donc, il vaut mieux passer son chemin. Des choses horribles qui se disent, notre époque en regorge à l’asphyxie.

"il vaut mieux passer son chemin."

Pas d’accord, Si la vérité n’est pas toujours révolutionnaire, le mensonge, lui, est toujours contre-révolutionnaire. Passer son chemin, quand x ou y racontent n’importe quoi, ça peut se concevoir mais jamais quand on met dans la bouche de quelqu’un qui ne peut réagir une contre vérité. Et c’est valable pour n’importe qui, serait-il le pire des criminels......

Ces diversions sur Trotsky sont incompréhensibles sur un billet qui traite de la chasse à l’étranger dans une municipalité FN.
A moins que ça soit en souvenir du temps lointain où Ménard se disait trotskiste.

Donc, à Béziers, Bob Ménard...

@CN46400
Écoutez-moi bien ou lisez-moi bien. Il y a une idée et il y a un argument. Ou bien on déconstruit l’idée et l’argument tombe à l’eau ou bien on détruit l’argument et l’idée tombe à l’eau.
L’ idée est la suivante :
elle cherche à établir un équilibre entre l’extrême droite et l’extrême gauche. Ce qui n’est pas farfelue lorsqu’on constate le nombre de Trotskystes qui sont passé de l’extrême gauche à l’extrême droite surtout aux États-Unis.
L’argument est le suivant :
voyez ce qu’a dit Trotsky et voyez tous les autres comme Staline, Pol pot... ont fait.
En fait, il reprend un argument qui n’est pas de lui mais du système dans lequel il vit, qui se défend en diabolisant ses opposants parmi lesquels les communistes en particulier. Comme tous les processus obéissent à une dialectique, deux systèmes qui s’opposent se déteignent l’un sur l’autre. La férocité de l’un peut engendrer la férocité de l’autre.
Seule la vérité peut être censurée, pas le mensonge.
C’est ce que dise tous les tyrans.

@ Maxim Vivas.
Comme on ne peut pas empêcher Robert Ménart de faire ce qu’il fait, alors on échange entre nous quelques amabilités . J’espère que vous n’en trouvez pas d’inconvénients.

@ depassage

tu dis : "l’idée cherche à établir un équilibre entre l’extrême droite et l’extrême gauche. Ce qui n’est pas farfelue lorsqu’on constate le nombre de Trotskystes qui sont passé de l’extrême gauche à l’extrême droite surtout aux États-Unis."

Un équilibre entre l’extrême droite et l’extrême gauche serait donc ... l’extrême centre ?
Bon, après, passer de l’extrême gauche à l’extrême droite, vu que la terre est ronde, il suffit juste de se retourner.
Et je pense qu’il n’y a pas moins de personnes "qui se sont retournées" en France qu’aux USA. Je suis de plus en plus déçu par des gens qui portent des tee-shirts de Che Guevara et qui votent FN.
Il est vrai aussi que le FN actuel chasse sur les terres de "l’extrême gauche" en s’appropriant ses idéologies (et j’ai bien dit idéologie, et pas propos, ou idées), et ça, ça sème la confusion, et agrandit l’autoroute bleu marine. C’est bien vu, car le FN a bien compri que dans l’extrême gauche, il y a encore des "staliniens", et que ceux-là sont victimes de la rondeur de la terre. Certains se sont crus Trotskystes à une époque ... comme Bob (?)

Mais Maxime a raison : le sujet de l’article n’est pas le procès de Trostsky

R. Ménard doit être content qu’on lui préfère L. Trotsky.
S’il se révélait être vrai que la vidéo tournée à La Devèze ne le fut que pour créer le "buse", il faut être
extrêmement vigilant sur les méthodes imposées par l’ancien de chez RSF pour imposer, par n’importe
quel moyen, la banalisation de faits anti-républicains.
Il connaît La Devèze comme sa poche et il y a de nombreux thuriféraires.

@Chien Guevara
Je vais vous répondre, mais avant je dois vous remercier pour votre attention. Comme d’habitude, je vais jouer au pédagogue sans le vouloir, un peu comme BHL qui fait la guerre sans l’aimer.
Vous commettez plusieurs confusions ou erreurs que j’ai l’intention de vous corriger
1) L’équilibre s’obtient par l’égalité entre deux ou plusieurs choses. Une chose seule ne peut jamais être en équilibre (d’ailleurs une chose seule, n’existe pas ou on ne la connait pas.). On parle souvent d’équilibre des forces ou des poids toujours relativement à un point qui peut se situer n’importe où, mais pas obligatoirement au centre de ce qu’on prend en considération. Dans ce contexte on parle de forces politiques qui se situent aux extrêmes, c’est-à-dire en dehors du champ politique qui assurent habituellement la stabilité d’une société. Ces forces refusent le compromis avec les autres forces qui veulent gagner par saut maitrisé ou par étapes quitte à s’allier à leurs opposants si nécessaire. Ces forces extrêmes, par contre, quand elles se rencontrent, elles fusionnent ou s’anéantissent quand elles sont égales, ou c’est l’une ou l’autre qui prend le dessus.
2) Le centre ne peut jamais se situer dans aucun extrême, il est toujours un simple point de convergence que certains politiciens espèrent incarner par la troisième voie ou des fadaises du genre.
3) La différence entre les USA et la France, c’est que, aux USA, ils sont au pouvoir ou dans ses arcanes et ceux de la France ne sont que leurs sous-fifres.
L’essentiel n’est pas de tout comprendre, c’est de veiller à faire du bien autour de soi.

4) Au sujet de Maxime Vivas, je ne lui ai donné ni raison ni tort. Il ne manquerait que ça. Il est un admirateur de LGS. Le travail qu’il doit faire suffit pour ses peines pour que je lui ajoute des critiques. Je lui ai seulement exprimé une légère inquiétude pour savoir si on n’est pas en train de déconner, car il est le mieux placé pour le savoir. Il a plutôt besoin d’aide. Sans vouloir me vanter, je tape des pays et des mains pour qu’on achète son livre.
5) Et je profite de cette occasion pour lui demander si son livre se vend sur Amazon.com. Mes recherches furent infructueuses.

@ Maxime Vivas
Merci à vous Maxime Vivas. Je voulais dire je tape des pieds et des mains et j’ai dit des pays et des mains. C’est plus poétique. Amazon n’est pas mon choix mais les contraintes sont ce qu’elles sont.
Bonne continuité.
Je profite d’un repos pour vous lire et vous écrire.
Merci encore.

"Hydrosolal, nettoyage par le vide" ce type d’arguments est plutôt dans le vocabulaire de Mr Menard et c’est peut être par ce biais que certains extrêmes se rejoignent jusque dans la cités de la "Devèze ".... qui est un quartier de Béziers pour ceux qui l’ignorent. Je ne sais pas qui a écrit cette phrase(citée par Hydro) mais elle est profondément Ménardienne et pas, ainsi que son commentaire, hors sujet...et donc respectable .Si l’on n’est pas d’accord avec elle ,il reste des arguments c’est toujours mieux et plus vertueux.....

Rions un peu. J’ai connu, étant petit gamin, un Monsieur Ménard. Il avait réussi à se faire une petite fortune, en élaborant des produits vétérinaires à l’époque très répandus. C’est au point qu’il était devenu sénateur : le privilège de la notabilité. Si je l’ai connu, c’est parce que sa femme était amie avec ma vieille voisine, une demoiselle très prolongée, chez qui j’étais très souvent accueilli. Monsieur Ménard accompagnait parfois sa femme à ces agapes, auxquelles il m’est arrivé d’être convié.

Ce Monsieur Ménard-là n’avait qu’un rapport politique fort lointain, avec celui qui nous préoccupe ici. Peut-être sa vie a-t-elle été moins négative pour ses contemporains...