J’ai lu la brève hier, j’aurais voulu dire, mais que dire ?...
Je reste sans voix, à l’écoute du moindre frémissement de révolte, n’importe où ...
Ma vie s’imprègne de la colère du monde, convaincue qu’il n’y a plus d’issue par la voie parlementaire, j’attends la conviction d’un autre chose, le moins violent possible, mais... alors peut-être le courage nous viendra tous collectivement... de changer ce monde de m.... où seul l’argent à droit de cité.
Merci Théophraste de partager ce tout petit moment d’amour et d’intimité qui a conduit deux désespérances dans le vide de la vie et de l’oubli.
"Que no se borre mi nombre de la historia"
Sofà