EQUATEUR :
Le temps de rédiger nuitamment un billet, de le publier, et voilà qu’il devient obsolète : Rafael Correa est à nouveau un président libre de ses mouvements.
Hep, Rafa, tu te souviens que Hugo, destitué pendant 47 heures en avril 2002 par l’armée, le patronat, la presse, a oublié que les prisons ne sont pas faites que pour les petits voleurs affamés mais qu’on peut y loger des putschistes ?
Il le paie aujourd’hui.
Théophraste R.
(Expert en conseils depuis l’Europe)
legrandsoir.info.