« Contre les violences conjugales, il faut vraiment que nous ayons des actions coup de poing » (Nicole Belloubet).
« Nous étions au bord d’un gouffre, nous avons fait un grand pas en avant... » (Félix Houphouët-Boigny).
De notre cher président, Emmanuel Macron :
« On est tous des enracinés et donc, parce que nous sommes des enracinés, il y a des arbres à côté de nous, il y a des rivières, il y a des poissons, il y a des frères et des sœurs. »
« J’ai toujours assumé la dimension de verticalité, de transcendance, mais en même temps elle doit s’ancrer dans de l’immanence complète, de la matérialité. »
« Ce qui constitue l’esprit français, c’est une aspiration constante universelle, c’est-à-dire cette tension entre ce qui a été et la part d’identité, cette ipséité (1) stricte, et l’aspiration à un universel, c’est-à-dire à ce qui nous échappe. »
Et, de leur maître à tous, Pierre Dac :
« Rien n’est plus semblable à l’identique que ce qui est pareil à la même chose ».
« Parler pour ne rien dire et ne rien dire pour parler sont les deux principes majeurs et rigoureux de tous ceux qui feraient mieux de la fermer avant de l’ouvrir. »
Théophraste R. (Sourd-muet regrettant néanmoins d’avoir égaré ses boules Quiès).
Note (1). Ipséité : ce qui fait qu’une personne, par des caractères strictement individuels, est non réductible à une autre. Il n’est pas d’être sans « ipséité ». Par exemple, Jojo le gilet jaune n’est pas réductible à une ouvrière bretonne illettrée ou à un nordiste alcoolo ou à un fainéant qui ne veut pas traverser la rue.