D’abord, l’IFOP, c’est Parisot....
Ensuite, le JDD.... Bon...
Il n’est donc pas étonnant que, comptant sur l’esprit moutonnier, ce soient celles-ci qui nous sont présentées comme "préférées" (favorites, dirait Google ?)
Il n’en demeure pas moins que les femmes sont toujours aussi exploitées par les hommes, que ce soit financièrement, sexuellement, intellectuellement, etc....
Elles ont l’"image" de la "Bonne Maman" (confitures et petits gâteaux) , même quand c’est des tueuses (aux ordres d’un homme, en général).
Les femmes sont peut-être exploitées pour plusieurs raisons :
1. Elles sont physiquement moins fortes. Voir à ce sujet le nombre de femmes qui meurent sous les coups d’un homme en France.
2. Elles ont peu d’hormones mâles, sauf accident, qui rend agressif. Voir pourquoi les sportifs en prennent et pourquoi c’est du dopage.
3. Elles protègent les enfants, quel que soit le père (pardon pour eux), quittes à donner leur vie pour eux.
4. Elles ont tendance à choisir le père de leurs enfants parmi les "gagneurs", car elles peuvent espérer qu’il aura les moyens de les élever.
C’est là que le bât blesse : quand le "gagneur" est un pourri, encouragé par le gouvernement en place qui le paie bien, ben, va pour le pourri ! Si, en plus, il frappe sa femme et que celle-ci a des enfants, qu’elle se "réfugie" dans la religion, alors elle se retrouve ficelée comme un saucisson. Avec, en plus, la réprobation et le dédain de son entourage qui l’acccuse d’être "lâche".
Actuellement, les "révolutionnaires" sont assassinés, réellement ou bien politiquement et professionnellement. Ils n’ont pas d’argent pour entretenir des enfants - surtout que tout va devenir payant : école, médecine... Ce ne sont pas des "partis" qui réjouiraient beaucoup la plupart des beaux parents.
Il n’est donc pas étonnant que "les françaises", encore une fois en général, préfèrent... les français collaborateurs, car ceux-ci ont au moins l’espoir (faux, mais les médias font tout pour qu’ils le croient) d’avoir une "brillante situation" et de ne pas être au chômage (archi pas sûr) demain...
La lutte des classes n’a sans doute pas fait disparaître le fait que les femmes sont moins fortes que les hommes. Mais, dans les pays où elle a un peu gagné, "la loi du plus fort" n’est pas aussi encensée. Elle est même parfois sanctionnée.
La lutte des classes n’a sans doute pas fait disparaître le fait que les femmes chercheront un homme capable de les aider à entretenir ses enfants. Mais, dans les pays où elle a un peu gagné, ce ne sont pas les mêmes hommes qui ont le pouvoir.
La lutte des classes n’a sans doute pas fait disparaître le fait que les femmes protègent les enfants. Mais, dans les pays où elle a un peu gagné, c’est toute la société qui protège les enfants. Là , c’est une différence de taille.
Cela n’empêche pas "des" femmes , et non pas "les" femmes, d’aller à contre-courant de l’idéologie dominante, mais ce n’est pas la majorité, car il n’est pas facile de nager à contre-courant. Ce ne sont donc pas "les françaises" des sondages.
En gros, ce serait peut-être une erreur de croire que les femmes vont renverser cet empire pourri à elles toutes seules. En laissant les hommes devant la télé : "Salut, Arnaud (au hasard), je vais à une réunion !"
Comme l’écrit Petite Soirée "La lutte pour l’égalité requiert tout le monde"