RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

Législatives : la fin de l’état de grâce, La Riposte.








La Riposte, lundi 18 juin 2007.


Le deuxième tour des élections législatives a donné aux partis de droite une majorité absolue à l’Assemblée nationale. Forts de leur contrôle de l’Elysée et du Parlement, l’UMP et ses alliés vont, dès le mois de juillet, engager de graves attaques contre les droits et les conditions de vie de la vaste majorité de la population : limitation du droit de grève, casse de l’université publique, mise en place de « franchises » médicales, etc. Avec une rapacité décuplée par la victoire de ses représentants, la classe capitaliste exigera de Sarkozy et du gouvernement Fillon qu’ils aillent vite et frappent fort.

Cependant, les résultats des élections de dimanche ont crevé le nuage d’euphorie sur lequel vivaient la droite et la classe dirigeante. Non seulement la « vague bleue » annoncée par tous les grands médias et instituts de sondages n’a pas déferlé, mais le deuxième tour indique une égalité de voix entre la droite et la gauche, les deux camps en cumulant chacun un peu plus de 10 millions. Au passage, on ne peut que savourer la défaite d’Alain Juppé, qui n’a même pas eu le temps de promener son arrogance dans tous les recoins de son « grand ministère ». (...)

- Lire l’ article www.lariposte.com




L’usine à gaz Sarkozy, par Michel Husson.


Le timing de Sarkozy-Fillon : contrat unique de travail et laminage du droit de grève, par Vincent Présumey.






URL de cet article 5172
   
Chroniques de GAZA 2001-2011
Christophe OBERLIN
L’auteur : Christophe OBERLIN est né en 1952. Chirurgien des hôpitaux et professeur à la faculté Denis Diderot à Paris, il enseigne l’anatomie, la chirurgie de la main et la microchirurgie en France et à l’étranger. Parallèlement à son travail hospitalier et universitaire, il participe depuis 30 ans à des activités de chirurgie humanitaire et d’enseignement en Afrique sub-saharienne, notamment dans le domaine de la chirurgie de la lèpre, au Maghreb et en Asie. Depuis 2001, il dirige (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Je définirais la mondialisation comme la liberté pour mon groupe d’investir où il veut, le temps qu’il veut, pour produire ce qu’il veut, en s’approvisionnant et en vendant où il veut, et en ayant à supporter le moins de contraintes possibles en matière de droit du travail et de conventions sociales.

P.Barnevick, ancien président de la multinationale ABB.

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.