RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

Le numéro 163 de "Cinquième zone" est en ligne.

Au sommaire du numéro 163 de Cinquième zone :

bulletin adressé par priorité au
jeunes des banlieues dont tout le monde parle mais à qui personne ne
s’adresse jamais :

EN AVANT POUR LES GUERRES DE RELIGION ! pour rappeler les dangers qu’il y a
à laisser les religions envahir des domaines où elles n’ont rien à faire,
ceux de l’identification inconditionnelle à une "communauté" et son
corollaire : les accusations de racisme, d’antisémitisme ou d’islamophobies
brandies systématiquement pour interdire toute critique et stériliser toute
évolution.

La PAROLE EST AUX JEUNES DU PUY-de-DôME. Reçu de Plauzat (63) un texte sensé
et un encouragement à la lutte.

DES LIVRES : Ni Putes Ni Soumises de Fadéla Amara et Vivre Libre de Loubna
Méliane, deux des animatrices de la marche des femmes et deux vraies
combattantes de l’antiracisme et de la lutte pour l’émancipation des femmes.
A lire.

Et quelques lignes sur Métaleurop, Paroles ouvrières, témoignage d’ouvriers
et d’empoyés de cette usine du Pas-de-Calais récemment fermée.

Télécharger cz-163 au format pdf

Cinquième zone

11, rue S. ALLENDE
92220 BAGNEUX

TEL : 06 03 63 70 61
Site : www.cinquieme-zone.org
Mail : cz.courrier@cinquieme-zone.org


URL de cet article 1183
   
Colombie, derrière le rideau de fumée. Histoire du terrorisme d’Etat
Hernando CALVO OSPINA
L’affaire Ingrid Betancourt et la question des otages ont mis la Colombie sous les feux de l’actualité… Mais, derrière le rideau de fumée médiatique, que se passe-t-il vraiment dans ce pays ? La violence politique, conséquence de l’intransigeance de l’Etat et des énormes inégalités sociales, est au coeur de cet ouvrage, Au fil de l’histoire, l’oligarchie nationale vorace, les Etats-Unis et certaines puissances européennes, avides de soumettre un peuple pour s’emparer de ses immenses (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Le plus troublant pour moi était la soif de meurtre témoignée par les membres de l’US Air Force. Ils déshumanisaient les personnes qu’ils abattaient et dont la vie ne semblait avoir aucune valeur. Ils les appelaient "dead bastards" et se félicitaient pour leur habilité à les tuer en masse.

Chelsea (Bradley) Manning

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.