Glissant,
je vais vous contredire. De toutes les femmes que j’ai connues (de l’âge de Anne Laute ou approchant)
il y a de cela quelques décennies, qui n’étaient pas en maison de retraite ou dans les EPHAD, nombre
étaient prêtes à se lever avec les jeunes si par un heureux hasard les jeunes se bougeaient les fesses !
Comme on ne les écoute pas, en général, on ne peut pas savoir et donc on s’imagine que...
Mais c’est vrai qu’ elles ne vivaient pas dans le culte de l’émotion comme aujourd’hui !