Le choc des photos : un quotidien vénézuélien avait transformé un geste d’amour en menace armée.
Le poids des mots : la presse (opprimée, n’est-ce pas ?) de son pays qualifie Hugo Chavez de « macaque » quand celle du nôtre (objective) se contente de « singe. » (1)
Le sacrifice humain : est-ce que des médecins caribéens réussiront à mater le cancer du président bolivarien ? C’est le voeu que je formule pour son pays et pour toute l’Amérique latine. S’il faut une offrande, un sacrifice des Français, acceptons que Ségolène entre au gouvernement.
La vérité tu diras : malgré la gravité du mal, on peut rester optimistes : « Prodigieuses avancées de la médecine cubaine », « Faible mortalité infantile, augmentation de la longévité : Cuba, l’île où l’on défie la muerte. » ont titré Le Monde et Libération (nan, c’est faux, j’invente, là ).
Allez, tous ensemble : « Uh, ah, chavez no se va ! » (www.youtube.com/watch?v=ooRRtigvZoY)
Théophraste R. (Jauressien bolivarien et donc : patriote internationaliste).
(1) Dans Le Figaro du 18 août 2004, Adler nous alerta sur l’antisémitisme de Chavez et sur « le désir évident » de ce « gorille bolivarien » de « confisquer le pouvoir » pour instaurer « une dictature rouge-brune ». http://www.acrimed.org/article1745.html
On comprend pourquoi Adler est si volumineux : Cruella Guyet est cachée dedans.