Cette nouvelle laisse un sale goût dans la bouche.
Pour cause, elle donne le sentiment que finalement, la ZAD de NDDL n’était qu’un hors-d’œuvre et que la victoire des zadistes, planifiée de longue date par l’Etat et magnifiée par une médiatisation intense, y a permis de faire avaler le plat de résistance faisandé de l’échec de la ZAD de Bure quelques jours plus tard.
Sans vouloir minimiser la première, la seconde, hélas, a des implications écologiques beaucoup plus dramatiques, pour l’environnement comme pour l’homme.
La cerise sur le gâteau, c’est que l’Etat passerait presque pour être progressiste…