À propos du Logo (« Les Huns menés par Attila »), rappelons que l’éminent ethnologue Th. Lothrop Stoddard comptait, d’après ses propres statistiques, que 82% des juifs étaient des Ashkénazes, de « race Alpine », ayant comme caractère des « têtes rondes » (Brachycéphales), étaient en réalité Turco-Mongols par le sang, et aucunement des « sémites » (leurs origines remontraient plutôt aux Khazars, un peuple qui vivait dans le Sud de la Russie et le Caucase, qui se convertirent en masse au judaïsme aux VIIIème et IXème siècles après J -C.). Dans le même temps, Th. Lothrop Stoddard établissait que les vrais Juifs, les Sefardim, ou Sépharades, qui ont le crâne allongé (Dolichocéphales), étaient de race Méditerranéenne. Ces deux types, disait-il, sont « aussi éloignés l’un de l’autre que les deux pôles ».
Parallèlement, le Prof. John Beaty, auparavant Colonel dans les Services de Renseignements US établit, dans son ouvrage « Le Rideau de Fer autour des USA » (1951), que les Sionistes sont constitués par une tribu russe, appelée Khazars, étymologie d’Ashkénaze, qui sont de sang Turco-Mongol, et qui furent convertis au Judaïsme voici quelques centaines d’années, mais ne sont pas des sémites, ni des Juifs de sang Israélite. En 1948, l’année de la création de l’État d’Israël, l’écrivain C.R. Parker reprit l’idée selon laquelle il y avait deux races de juifs. Pour lui, les sionistes étaient presque tous ashkénazes. Si les séfarades étaient pieux et apolitiques, les sionistes ashkénazes utilisaient sans honte l’influence financière et politique des communautés juives européenne et américaine pour leur campagne en vue d’obtenir un État souverain. (Voir C. F. Parker, « A Short History of Esau-Edmon in Jewry »)
Dans la mesure où tout cela était avéré, on pourrait légitimement mesurer l’imposture que constituerait le soi-disant « antisémitisme », brandit à tout propos et en toute occasion, voire quasi quotidiennement aujourd’hui, par des non-sémites.
NB : Saddam Hussein aurait-il eu raison, lorsque qu’il désignait les américains comme les « nouveaux Mongols du Moyen-Orient », faisant allusion au pillage de Bagdad en 1248 par les troupes d’Hulagu Khan. Précisons que le terme « Khan », titre de l’autorité masculine, en Tartarie, est l’origine du nom de « Caïn ».
En parlant de Bagdad, profitons-en pour dire deux mots à propos de la récente guerre d’Irak menée sous l’impulsion de l’Amérique de G.W. Bush et de la Grande-Bretagne de Tony Blair, et souvenons-nous des opérations de pillages et du saccage intégral du musée de Bagdad, organisés « professionnellement », sous la passivité totale des forces américaines (sous leur protection même affirment certains), et de la destruction systématique de tous ses ordinateurs et archives dans lesquels étaient recensées et photographiées toutes les pièces de l’inventaire, ainsi que du vol de la majeure partie des 40 000 manuscrits et de la totalité des quelques 80 000 tablettes de terre cuite recouvertes d’inscriptions cunéiformes… des tablettes sumériennes dont le décryptage commençait à s’avérer fort instructif en ce qui concerne les influences babyloniennes chez les rédacteurs de l’Ancien Testament.
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