Merci de rappeler qu’a existé ces hommes de la révolution. Et la répression libérale (hypocrite) se perpétue.
Mais, pour aider la Révolution d’Amérique Latine, la France demeure un symbole (une nostalgie).
Eh regard des dernières années avec l’avènement de la FI et de GJ, l’un se structurant autour d’une VI République et l’autre plongeant dans la Prolétariat, et que l’on constate l’effervescence des initiatives, des missions, des soulèvements, de puissants portes-paroles, etc,. N’y a-t’il pas là un formidable potentiel pour une organisation synergique puissante ? Tout ça demeure éparse et, au demeurant conflictuel, parce que la vision globale n’y est pas.
Par le manque de vision historique conjoncturel, les instances "progressistes" refusent (mobiles) de passer le flambeau et d’adhérer à ce que Marx appelait : prolétaire rassemblez-vous (voir plateforme jaune), les prolétaires c’est nous tous (retraités, .....étudiants,....femmes,....., nous les citoyens-travailleurs. Former des milliers de comités dans lesquels se retrouvent écolo, activistes,etc., en épousant le rassemblement autour des Gilets Jaunes et que la machine de la FI se mette à son service.
Ce n’est pas aux GJ d’adhérer à qui que ce soit, mais à qui que ce soit d’y adhérer. Passer le Flambeau et le supporter est le premier pas vers cette synergie du Peuple Français, qui ne manquera pas à régénérer les forces Prolétariennes Citoyennes travailleurs montantes. Ne voyez-vous pas cette occasion de se préparer pour la Révolution, le Passage.
La Constituante Citoyenne et le Parti de Transition Citoyen, un tandem.
Le nouveau Pacte Social__ reconnaissance et respect.
Le nouveau paradigme économique__éradiquer la pauvreté.
Pour Jean Jaurès, la révolution socialiste n’est concevable que dans le cadre de la légalité démocratique, c’est-à-dire par une conquête graduelle et légale par le prolétariat des institutions parlementaires et de la puissance de la production.
Redire et redire de mille et une façon des vérité, où laisser le haut parleur à ceux qui répètent des mensonges.
Dans l’agenda de la course électorale, les médiats, les banques, les institutions politiques sont au coeur du rapport à la vie quotidienne.
Comment dire, mais c’est nécessaire.
« « « Souverainetés et internationalisme
L’internationalisme est l’un des fondements du mouvement ouvrier depuis le XIXe siècle. Il est parfois résumé par la formule célèbre de Marx « Prolétaires (ou travailleurs) de tous les pays, unissez-vous ! » et symbolisé par un chant : « L’Internationale ». On se souvient que les empires et les bourgeoisies nationales de l’époque luttaient pour les conquêtes territoriales, notamment coloniales, en utilisant le peuple comme chair à canon. On peut alors comprendre que la solidarité était, de beaucoup, plus forte entre les ouvriers des différents pays, qu’entre les ouvriers et la bourgeoisie à l’intérieur d’un pays donné.
Le concept même d’internationalisme suppose l’existence des nations. Mais quand on se réfère à « la nation », il faut en préciser le contenu. Mazzini, puis Renan, Jaurès et d’autres ont en effet développé une distinction entre deux conceptions diamétralement opposées de la Nation : celle, ethnique, de la “nation inconsciente“ ; celle, politique, de la “nation consciente“.
La première, la nation inconsciente, enferme l’individu et les groupes sociaux dans les déterminants issus du passé, ceux de la race, du sang et du sol. Elle fonde le chauvinisme.
La seconde, la nation consciente, invite les citoyens à forger des projets d’avenir en commun ; les citoyens, à travers la nation consciente ont vocation à s’élever vers la "commune humanité".
C’est bien sûr à cette seconde définition que le Pardem se réfère.
Mais n’oublions pas que le nécessaire constat de la légitimité démocratique et sociale de la Nation ne saurait suffire. On pourrait même se fourvoyer si ce constat conduisait à accepter les inégalités entre citoyens d’un même pays, à négliger les solidarités internationales, la recherche de compromis et d’arbitrages entre les intérêts nationaux !
L’internationalisme s’oppose évidemment au nationalisme, si on se réfère à la conception inconsciente de la nation. En revanche, si on considère la nation comme un « marchepied vers l’universel », le lieu principal où s’exerce la volonté politique des citoyens, il n’y a pas opposition mais complémentarité entre l’internationalisme et ce patriotisme-là.
Jaurès l’avait vu et exprimé clairement, il y a plus d’un siècle :
« ... Ce qui est certain, c’est que la volonté irréductible de l’Internationale est qu’aucune patrie n’ait à souffrir dans son autonomie. Arracher les patries aux maquignons de la patrie, aux castes du militarisme et aux bandes de la finance, permettre à toutes les nations le développement indéfini dans la démocratie et dans la paix, ce n’est pas seulement servir l’internationale et le prolétariat universel, par qui l’humanité à peine ébauchée se réalisera, c’est servir la patrie elle-même.
Internationale et patrie sont désormais liées. C’est dans l’internationale que l’indépendance des nations a sa plus haute garantie ; c’est dans les nations indépendantes que l’internationale a ses organes les plus puissants et les plus nobles. On pourrait presque dire : un peu d’internationalisme éloigne de la patrie ; beaucoup d’internationalisme y ramène. Un peu de patriotisme éloigne de l’Internationale ; beaucoup de patriotisme y ramène. » (Jean Jaurès, L’Armée nouvelle, 1911).
D’une autre manière, Romain Gary a établi une distinction entre le nationalisme « haine des autres » et le patriotisme “amour des siens“. C’est avec ce patriotisme humaniste, internationaliste, qu’il s’agit de renouer après plus d’un siècle de tâtonnements et d’errements.
Lire la suite : https://www.pardem.org/analyses/la-souverainete-nationale/276-souverainetes-et-internationalisme » » »
Comment dire.
« « Dans l’agenda de la course électorale, les médiats, les banques, les institutions politiques sont au coeur du rapport à la vie quotidienne. » »
« « « Le concept même d’internationalisme suppose l’existence des nations. Mais quand on se réfère à « la nation », il faut en préciser le contenu. Mazzini, puis Renan, Jaurès et d’autres ont en effet développé une distinction entre deux conceptions diamétralement opposées de la Nation : celle, ethnique, de la “nation inconsciente“ ; celle, politique, de la “nation consciente“. » » »
Mais nous avons à faire avec un vieux démon (le fascisme-nazisme ?) incarné par Trump, Bolsonaro....... ?
Ici,je conseille de lire l’épilogue de l’ouvrage de M. Grof : Psychologie Transpersonnelle
Pour comprendre l’origine de ce concept, l’introduction de son livre : Royaumes de l’inconscient humain (1975). Au début,il a commencé ses recherches en équipe en Allemagne de l’Est.
Deux chapitres qui parlent par eux-mêmes.
Ce n’est pas la quantité des information, mais la qualité.
Krishnamurti : voir la vérité d’une chose.
Attention, il n’y a pas de panacée, mais une juste place dans les rouages du changement. De l’Hominisation à l’Humanisation. Allons-nous laisser faire des psychopathes ?