RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

La mondiabolisation

Tout le monde crie à la mondialisation, je veux dire la mondiabolisation, ça me rappelle le temps du film ’’Le train sifflera trois fois’’ avant de partir où tout le monde a le temps de rattraper le train, car ses portières sont encore ouvertes, mais cette fois-ci le train ne sifflera pas, car tout le monde est averti à la gare et ses portières seront fermées avant même de partir, en plus c’est un TGV.

la mondialisation aujourd’hui ne sera pas uniquement celle de l’économie mais aussi celle de la pauvreté, du terrorisme, de la mafia financière.
Il n’y aura plus de pays, mais des communautés avec une monnaie unique : celle des intérêts communs.

la mondialisation ne sera pas celle du transfert de technologie, mais aussi celle du transfert de ses produits et de ses produits toxiques, certains pays loueront leurs sols comme cimetière aux produits des déchets nucléaires.

On promettra à d’autres l’industrie là où la main d’oeuvre est moins chère, pour ne pas dire exploitée et à d’autre l’industrie du sexe pour ne pas dire la pornographie.

Les riches seront un même lobby, quelque soit leur pays et les pauvres auront un même Dieu, quelque soit leurs religions.

L’ère du troisième millénaire aura comme Dieu l’argent pour les uns et dieu pour d’autres

la nouvelle ère sera celle du gros poisson qui avale les petits.

la nouvelle ère sera celle des pauvres qui auront de plus en plus tort, le plus fort ayant toujours raison.

Bref la nouvelle ère sera celle de la révolte et non plus de la révolution.

URL de cet article 17413
   
L’Âge du capitalisme de surveillance
Shoshana Zuboff
« Révolutionnaire, magistral, alarmant, alarmiste, déraisonnable... Inratable. » The Financial Times Tous tracés, et alors ? Bienvenue dans le capitalisme de surveillance ! Les géants du web, Google, Facebook, Microsoft et consorts, ne cherchent plus seulement à capter toutes nos données, mais à orienter, modifier et conditionner tous nos comportements : notre vie sociale, nos émotions, nos pensées les plus intimes… jusqu’à notre bulletin de vote. En un mot, décider à notre place – à des (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

C’est seulement quand le nombre de cadavres de l’oppresseur est suffisamment grand qu’il commence à écouter.

Amilcar Cabral

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.