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La femme n’est pas toujours l’avenir de l’homme

 - Lesley Stahl (journaliste) : « Nous avons entendu dire que 500.000 enfants sont morts (en Irak). Ca fait plus qu’à Hiroshima. Et, vous savez, est-ce que cela en valait le prix ? ».

 - Madeleine Allbright, (secrétaire d’État US) : « Je pense que c’est un choix difficile. Mais le prix - nous pensons que cela en valait le prix. ».

« Je suis d’accord avec le fait que le tsunami a été une merveilleuse occasion de montrer, au-delà du gouvernement des États-Unis, le coeur du peuple américain ».
Condoleezza Rice (secrétaire d’État US).

Théophraste R. (féministe, mais néanmoins provocateur et anti-tatcherien primaire).

Les citations sont extraites du livre « 200 citations pour comprendre le monde passé, présent et à venir ».

URL de cette brève 2622
https://www.legrandsoir.info/la-femme-n-est-pas-toujours-l-avenir-de-l-homme.html
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Commentaires
27/05/2012 à 11:25 par Annie Stasse

Théophraste : la femme est un Homme comme un autre. (répétition !).
Quelle est cette idée de croire que les femmes seraient bonnes par nature ? Elles sont violentes tout autant, c’est juste qu’en général elles n’ont pas la force physique pour tuer leur compagnon mais ça leur arrive aussi. Et les hommes ont trop honte pour porter plainte quand elles les battent. Quant au viol si elles s’y mettent à plusieurs… j’avais lu (ethno) que cela se pratiquait dans certaines cultures quand des étrangers (hommes) passaient sur le territoire de la communauté.

Le féminisme tel que je le conçois, la tient pour égale. Ce n’est pas une question de gênes mais de culture. L’Homme est un être de culture avant tout.
En français on a dit longtemps homme pour humain. Il est bien de jouer sur les mots de temps à autre. Ce n’est que très récemment qu’on a commencé à féminiser la dénomination des professions, quand on a commencé années 60 ça faisait bizarre… ça commence à rentrer dans les moeurs.

#82173 
27/05/2012 à 11:58 par Sofà­a del Valle

@ Théophraste : nous redonner la nausée un dimanche matin, ce n’est pas sympa ... même pour relancer un appel à la solidarité avec LGS ;-)

Bon dimanche quand même.

Sofà­

#82177 
27/05/2012 à 15:40 par Théophraste R.

Ce n’est que très récemment qu’on a commencé à féminiser la dénomination des professions, quand on a commencé années 60 ça faisait bizarre… ça commence à rentrer dans les moeurs.

Exact, et ma maîtresse-nageuse-sauveteuse en parlait ce matin avec le sage-homme devant un sentinel de la maternité qui est un nouveau recrue dont la femme est sapeuse-pompière.

Bisou

#82187 
27/05/2012 à 15:50 par Michail

Dans le même registre il y en a une autre qui fait aussi de très gros efforts pour tenter de modérer nos (Mâles) tendances naturelles à la sympathie, (Envers le gente féminine) c’est une certaine Christine Lagarde :

 "It’s payback time : don’t expect sympathy - Lagarde to Greeks" - The Guardian

#82188 
27/05/2012 à 18:08 par Annie Stasse

Exact, et ma maîtresse-nageuse-sauveteuse en parlait ce matin avec le sage-homme devant un sentinel de la maternité qui est un nouveau recrue dont la femme est sapeuse-pompière.

au moins j’ai rigolé !
mais t’as raison. mais bon faut trouver, un peu d’imagination, on dit que le français est une langue de nuances. Sage-femme, maitresse… sage-homme ? toute façon sage on se demande en quoi. Quant à maitresse pour les instits ça choque pas et c’est mieux que professeur des écoles. Sauf pour les esprits mal tournés.

@Michail une de plus que c’est pas une question de sexe, mais de classe sociale, de position dans la société, de culture quoi.

#82196 
27/05/2012 à 20:47 par Michail

27/05/2012 à 18:08, par Annie Stasse

@Michail une de plus que c’est pas une question de sexe, mais de classe sociale, de position dans la société, de culture quoi.

Å’uf corse ! Mais mon commentaire est bien sûr dans le ton et dans l’esprit du billet de Théophraste, à la différence près que moi, je ne suis pas féministe, je suis marxiste !

Le genre humain est constitué d’hommes et de femmes pour moitié en gros, qui sont capables du pire comme meilleur, défendre les intérêts du genre humain, et de la classe laborieuse plus précisément, me semble le seul idéal qui vaille.

Prôner une discrimination réactionnelle, c’est prôner une discrimination ce qui est pervers, les discriminations sont à mon sens à proscrire quelles qu’elles soient !

Prôner l’égalité des hommes et des femmes est à mes yeux aussi inepte, dans la mesure où nous sommes différents et complémentaires, l’organisation des peuples dits "primitifs" montre que c’est facilement gérable de manière rationnelle sans léser personne.

Prôner la dite "parité" est en outre pour moi une connerie monumentale, les femmes peuvent se comporter de manière aussi odieuse que les hommes, il n’y a qu’à voir par exemple comment était constitué le personnel des camps nazis, inutile de commenter...

Enfin tout ça ce sont des truismes, mais à choisir je préfère les truismes aux inepties et aux atrocités !

#82203 
27/05/2012 à 22:50 par Annie Stasse

ah oui parce qu’être féministe c’est contradictoire avec marxiste ? Je suis les deux !

sans blague vous dites la même chose que moi : vous « Le genre humain est constitué d’hommes et de femmes pour moitié en gros, qui sont capables du pire comme meilleur » moi « la femme est un Homme comme un autre » ou « Quelle est cette idée de croire que les femmes seraient bonnes par nature »

quant à la parité je ne fus pas pour longtemps. Mais comme les hommes (ceux du sexe masculin) ont et gardent tous les pouvoirs … c’est aussi en forçant par la loi que des noirs, des spanishs jouent dans les films, téléfilms etc aux USA qu’on arrive à quelque chose. En France je vois pas beaucoup de couleurs… et tant qu’on y est faudrait aussi l’appliquer aux ouvriers dans l’AN et le Sénat… en attendant de changer de n° de république.

#82207 
27/05/2012 à 23:27 par Michail

27/05/2012 à 22:50, par Annie Stasse

ah oui parce qu’être féministe c’est contradictoire avec marxiste ?...

Vous m’avez lu trop vite, j’ai déjà répondu par avance à cette question bien évidemment, je ne suis pas de ceux qui pensent que l’on peut se contenter de lancer des propositions péremptoires sans les argumenter un minimum....

#82211 
28/05/2012 à 07:21 par calame julia

Madeleine Allwright c’est une femme ? qui justifie les crimes d’enfants comme une marchandise (prix) ?
pour devenir un homme comme les autres ?
..."car un enfant qui pleure qu’il soit de n’importe où est un enfant qui pleure
..."car un enfant qui meurt au bout de vos fusils est un enfant qui meurt !
Que c’est abominable d’avoir à choisir entre deux innocences
Que c’est abominable d’avoir pour ennemi les rires de l’enfance" ! Barbara -

Quand le sage montre la lune...

#82221 
29/05/2012 à 06:30 par babelouest

Bien plus que le sexe, la fonction crée le comportement. Et la personne qui choisit la fonction est conditionnée par des tas de choses. Par son environnement pendant l’enfance, c’est indéniable. Mais aussi parce que, dans la tête, on n’est pas homme ou femme, mais quelque chose entre deux extrêmes : l’hypervirilité telle que la jouait Charlton Eston, ou la féminité mièvre. Ce sont précisément les nuances entre des foules de comportements selon les circonstances, qui caractérisent la richesse humaine. Ras-le-bol de cette féminisation-masculinisation souvent ridicule des métiers, mais aussi des écrits, comme si le problème était là  !

Un homme politique est toujours un homme politique, qu’il s’appelle Theodore Roosevelt ou Margaret Thatcher. Le plus masculin des deux est bien entendu le second.

Quant au soldat, entre la jeune recrue (tiens, c’est féminin) et le vétéran, sauf prédisposition particulière il n’est plus le même homme. Est-il encore un homme, d’ailleurs ? (dans le sens d’humain)

Mon grand-père me racontait que, parti sous les drapeaux en 1911, déjà dans les positions d’avant-postes dans la nuit du 31 juillet au 1er août 1914, et démobilisé enfin en mai 1919, il lui avait fallu dix ans pour redevenir un homme normal.

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