Bravo Michel, c’est très bien dit. Pour en sortir, il ne suffira pas de mesurettes, qui nous enfonceront encore plus. Il faut couper le noeud gordien qui relie l’État, donc nous tous, aux banques. En les saisissant, tout simplement. Même chose, il faut se débarrasser des créanciers étrangers, fonds de pension, banquiers, spéculateurs, en leur annonçant que leurs créances valent zéro. Tollé sur le planète Fric.
Bien entendu, ces choses ne seront possibles que si c’est la gauche (pas Hollande) qui est aux manettes après les élections. A moins que tout le monde ne descende dans la rue, mais j’en doute, puisque les syndicat feront tout pour l’empêcher.