Ayaaah, entre mes commentaires qui disparaîssent et le décalage horaire, je ne peux pas essayer de taquiner le petit goujeon... impossible de jouer.
Je voulais mettre sur la table le fait qu’il y a sur internet :
– Beaucoup de photos de ciels zebrés, réalisables éventuellement avec Photoshop.
– Beaucoup de vidéos impressionnantes comme celle çi : www.express.co.uk
Vidéos pas forcément truquées, mais les avions de ligne pratiquent parfois le « fuel dumping ». C’est à dire la pulvérisation d’un trop plein de carburant.
– Beaucoup d’images d’intérieurs d’avions... Mais combien d’avions de toutes tailles sont équipés pour pulvériser des insecticides, des produits retardants anti-incendie, des sels d’iodure pour provoquer la pluie... ?
– Beaucoup de témoignages qui ne prouvent rien.
C’est un problème, ce sujet est submergé de tout et n’importe quoi.
il y a aussi beaucoup d’analyses d’eau de pluie, de poussières récupérées sur une pare-brise, ou captées dans le ciel par un petit avion, directement dans le « nuage ».
Est- ce que ce sont des preuves ?
Voilà ce qu’en dit Mick West, un administrateur du site metabunk.org, un site qui, comme son nom l’indique, s’efforce de contredire les théories les plus diverses.
Mick West précise quel est son rôle : est-ce qu’il est possible de considérer la moindre affirmation accessible sur internet comme un élément de preuve suffisant pour attaquer en procès une administration ou une entreprise effectuant des pulvérisations « sauvages » ?
... La revendication de la preuve peut être démystifiée principalement de l’une des deux manières :
– Preuve incorrecte (réalisée sans la présence de personnes assermentées...) Qui nous prouve que la teneur élevée en aluminium ne provient pas en fait de l’eau d’un étang boueux ?
- Preuve n’appuyant pas la théorie des chemtrails : oui, vous pouvez prouver le fait que des niveaux élevés d’aluminium ont été trouvés dans de l’eau de pluie ou des prélèvements effectués dans le ciel après une pulvérisation supposée... Mais pouvez-vous prouver que ces traces d’aluminium ne proviennent pas en fait de poussières qui se trouvaient déjà dans l’air parce qu’elles auraient été rejetées à 100kms de là par une usine ?
... Avant de vous lancer dans un proçès perdu d’avance, réfléchissez... Il ne suffit pas d’être de bonne foi...
Et puis, est-il illégal de pulvériser ses propres populations ?
Aux USA, au Canada... manifestement... Non.
Le Traité ENMOD interdit d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles, mais l’autorise à des fins pacifiques et pour des tests de défense sur sa propre population.
Et des expérimentations sur les populations américaines, il y en a depuis des dizaines d’années :
Dew1 en 1952. Avec du zinc cadmium sulfide sur 3 états US,
Dew 2 en 1953 avec des spores,
Operation LAC en 1957 (qui a touché un zone allant du golfe du mexique jusqu’au Canada qui a été impacté par inadvertance :) a nécesssité 100 heures de vol avec un C-119...
(> Act : pourquoi injecter dans les réacteurs ? Mieux vaut le faire comme un fuel dumping et profiter de leurs turbulences pour diffuser les produits... Et en utilisant un avion de ravitaillement standard comme le KC-135, on peut transporter 31.275 Gallons de produits d’épandage... Pourquoi faudrait-il modifier des avions commerciaux de ligne régulière ?)
Et la géo-ingénierie évoquée par l’agence Bloomberg ?
Sachant qu’il faut 10 ans aux politiques pour discuter, je suis allé voir le rapport du GIEC de 2013.
On y trouve les propositions de réduire le bétail qui s’appliquent cette année aux éleveurs hollandais.
Et on y trouve en 6.9.2 des pages sur le « Solar radiation management »... Autrement dit, la pulvérisation d’aérosols, le blanchiement renforçé des nuages et autres technologies visant à diminuer la température de la terre en réduisant la quantité de lumière solaire absorbée par la surface de la terre...
Si c’est le GIEC qui le dit...
Nous sommes priés de croire qu’aucun essai n’a été mené, mais les scientifiques du GIEC disent que ces techniques peuvent être à la fois bon marché, avoir un effet rapide, avec le risque que leur action soit reservée à des zones "privilégiées" (comme les vaccins).
Du genre, les pauvres vont crever de chaud, mais pas nous...
Ce qui fait quand même beaucoup d’avantages quand on y pense...
Nous pouvons donc affirmer
1/ qu’il existe des avions capables de pulvériser
2/ que des expérimentations secrètes sont menées depuis des années, à des fins non militaires, et nous le savons après les dizaines d’années nécessaires pour déclassifier les documents.
3/ qu’il y a des projets (dans les cartons ?) dont parle le GIEC depuis des années.
Ps :
From Wikipedia, the free encyclopedia
Operation LAC was undertaken in 1957 and 1958 by the U.S. Army Chemical Corps.[2] Principally, the operation involved spraying large areas with zinc cadmium sulfide.[1] The U.S. Air Force loaned the Army a C-119, "Flying Boxcar", and it was used to disperse zinc cadmium sulfide by the ton in the atmosphere over the United States.[3] The first test occurred on December 2, 1957 along a path from South Dakota to International Falls, Minnesota.[4]
The tests were designed to determine the dispersion and geographic range of biological or chemical agents.[3] Stations on the ground tracked the fluorescent zinc cadmium sulfide particles.[3] During the first test and subsequently, much of the material dispersed ended up being carried by winds into Canada.[4] However, as was the case in the first test, particles were detected up to 1,200 miles away from their drop point.[3][4] A typical flight line covering 400 miles would release 5,000 pounds of zinc cadmium sulfide and in fiscal year 1958 around 100 hours were spent in flight for LAC.[4] That flight time included four runs of various lengths, one of which was 1,400 miles.[4]
Specific tests
The December 2, 1957 test was incomplete due to a mass of cold air coming down from Canada.[4] It carried the particles from their drop point and then took a turn northeast, taking most of the particles into Canada with it. Military operators considered the test a partial success because some of the particles were detected 1,200 miles away, at a station in New York state.[4] A February 1958 test at Dugway Proving Ground ended similarly. Another Canadian air mass swept through and carried the particles into the Gulf of Mexico.[4] Two other tests, one along a path from Toledo, Ohio to Abilene, Texas, and another from Detroit, to Springfield, Illinois, to Goodland, Kansas, showed that agents dispersed through this aerial method could achieve widespread coverage when particles were detected on both sides of the flight paths.[4]