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KOSOVO, LE TRAFIC DE DROGUE ET L’EUROPE

Le Kosovo est le point de transit de la drogue asiatique vers l’Europe.

Selon un analyste des questions militaires serbe, Milovan Drecun, citant l’Europol et l’Interpol, la majeure partie de la drogue européenne en provenance de l’Afghanistan passait par le Kosovo. D’après certaines estimations c’est 65% de la production mondiale d’héroïne qui passerait par l’ancienne province serbe alors que 90% de l’ensemble des drogues arrivant en Europe transiterait par le Kosovo.

Le canadien, S.Kellock, estime, quant à lui, que la mafia albanaise agit de connivence avec les États Unis. Lors d’une interview, S. Kellock a affirmé que des diplomates US en poste au Kosovo sont intervenus pour faire libérer des trafiquants de drogues notoires.

Le détective canadien a également confirmé que le premier ministre actuel, H.Thaci, est à la tête du plus important clan mafieux albanais.

Suivant des rapports secrets de la KFOR, le clan disposerait de trois laboratoires illégaux pour le traitement de l’héroïne. Les individus impliqués dans le trafic de drogue occupent des postes importants au sein de l’administration provinciale, fait remarquer l’expert serbe, Milovan Drecun à l’occasion d’une interview pour « Voice of Russia » et se demander ensuite :

« Les médias parlent des liens entre les militaires US au Kosovo et les trafiquants de drogue locaux. Mais, en va-t-il réellement ainsi ? »

Officiellement, les Américains travaillent pour éradiquer la production d’héroïne en Afghanistan, mais, en réalité, ils, c’est-à -dire la CIA, utilisent les revenus du trafic de la drogue - trafic facilité par la Base de Bondsteel au Kosovo -, pour renflouer leurs fonds secrets, du moins c’est ce qu’affirment des journaux américains, rapporte Milovan Drecun.

D’autres rapports mentionnent une relation américaine d’un membre de l’Armée de Libération du Kosovo terroriste, proche ami du Premier ministre du Kosovo Hashim Thaci, dont on croit savoir qu’il a passé en contrebande 150 kilos d’héroïne et de cocaïne en une seule fois. Ces criminels, copains d’un propriétaire de café près de la base de Bondsteel, faisaient des affaires avec les officiers américains, ajoute Milovan Drecun.

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Thomas Friedman, « In Defense of ISIS », New York Times, 14 avril 2017.

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