Journalisme, comment se nie la réflexion critique
L’ information transmises par la presse généraliste, la rend communément admissible.
De par son absence d’éventail représentatif de spécificité, moins thématiques qu’analytique, la presse, offre un champ de réflexion et de recherche étroit voir inconfortable.
En cela, le révélateur de l’absence d’interrogations sociologique, est que l’ont peut qualifier de con sensuelle la vision qui nous est offerte de Cuba.
En effet, qu’un chef d’état fasse des discours fleuves, vue de notre fenêtre, c’est comique et qu’en l’absence de journaux indépendants, la presse nationale Cubaine, le lendemain, l’analyse sur quatre pages, sans parler de « mesa redonda » qui disséquera de ce monologue son aspects politique, philosophique, économique et sociologique, c’est à mourir de rire.
A bien y regarder, est-ce si diffèrent en France par exemple ?
Les discours fleuves sont inutiles, le peuple Français est en sécurité, ne souffre pas d’un blocus empêchant tout développement socio-économique, ni de terrorisme ; il n’a pas besoin d’être rassurer et conforté dans une lutte pour sa souveraineté.
Les intervention du chef de l’état peuvent êtres courtes, laconiques ou agressives, elles seront reprises et analysées dés le lendemain sur quatre pages « spéciales » ou à la télévision dans une page « spéciales » consacrées à l’évènement, dans des journaux libres.. .. d’appartenir à des marchands d’armes ou des groupes industriels ou boursiers, dont les Journalistes salariés peuvent LIBREMENT choisir de ne pas enquêter sur Dassault industrie, Vivendi Universal ou le nuage de Tchernobyle qui contourna nos frontières ou bien encore sur Reporter Sans Frontières.
Ce sont donc ces journalistes Libres, d’une presse Libre, qui juge sans malhonnêteté intellectuelle de la liberté d’expression dans la perle des caraïbes.
« comme j’avais hâte de commencer la réparation de mon moteur, je griffonnais une caisse et lançait : Tien voici la caisse, ton mouton est dedans ! Et quel ne fut pas mas surprise de l’entendre s’écrier : C’est tout a fait comme ça que je le voyait ! »
Le petit prince. A. St Exupéry