Ce qui me surprend (j’ai le polar bolivarien et le DVD), c’est qu’à la fin d’une année de labeur bénévole, en période de cadeaux, quand LGS propose à ses lecteurs, non pas des étrennes méritées, mais des oeuvres (qui ne sont pas des produits) conçus par lui (ses administrateurs), des lecteurs en profitent pour venir pour proposer d’autres sites à aller consulter.
Loin d’acheter et d’offrir des oeuvres dont la diffusion satisfaisante permettrait d’en concevoir d’autres, ils utilisent LGS comme panneau publicitaire.
C’était hier et c’est pas demain, la Révolution française.
C.B.