Le complot n’est pas terminé, il vise, c’est évident, l’Iran et la Syrie, mais notre pays est, lui aussi, dans le collimateur. Ce serait une grave erreur de l’oublier
La grave erreur est celle de croire, comme le fait l’actuelle équipe au pouvoir, il me semble, qu’en optant pour le profil bas, en obtempérant aux "conseils" du FMI alors que l’Algérie n’est pas endettée et donc pas sous la férule de cet organisme, en bradant les ressources du peuple, en s’alignant recta, en élève docile, sur l’ultralibéralisme occidental, en faisant des "cadeaux" tel celui fait à Renault, en excellant dans l’import-import, en négligeant criminellement tout essor industriel véritable, en dilapidant un confortable matelas de devises en "placements" dans des fonds souverains bidons et autres prêts au FMI, en pensant qu’en "nourrissant" l’appétit des néocoloniaux, elle (l’équipe au pouvoir) entrera dans les "bonnes grâces" et fera ainsi d’une pierre deux coups, se maintenir aux commandes et éviter que le pays soit détruit. Une erreur monumentale et qui met à nue une stratégie indigente.
Le résultat patent est que la guerre est à la porte de l’Algérie, Je ne sais si le Mali sert de diversion à la Syrie (et/ou à l’Iran) ou si c’est le contraire, si la Syrie (et/ou l’Iran) servent de diversion au Mali qui n’est que le cheval de Troie pour annexer le Sahara et ses immenses ressources.
Avec la clairvoyance de nos "stratèges" nous voilà , non seulement dans le collimateur mais acculé(e)s avec nos frontières bien cernées. Qu’Allah nous vienne en aide !