Je me demande si ces gens qui tentent de le salir une fois mort après avoir essayé, en vain, de le faire alors qu’il pouvait encore se défendre, crachent à leurs reflets le matin au réveil devant leur miroir, leur humanité, si bien enfouie, se frayant brièvement un chemin jusqu’à leur coupable conscience avant qu’ils ne s’accoutrent pour reprendre leur quotidien de prostitution sur l’autel du grand capital...