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Fous de balles

FOUS DE BALLES

Juin 2014, les choses ne vont guère mieux qu’hier
Faut encore attendre un peu
C’est ce douze juin que s’ouvrira la Coupe du Monde de Football
Et dès lors, tout ira mieux pour une bonne partie du monde

Fini les soucis du quotidien qui s’égrènent
Le bruit des enfants sera couvert par le bruit des stades
Et le bruit des médias qui sauront prodiguées la joie jusqu’à l’hystérie
Collectivement transmissible dans un contexte de ferveur partagée

Enfin reviendront les jours heureux de notre enfance
Avec ou sans un papa, heureux comme un enfant
Qui s’amuse toujours et encore à faire tourner un ballon sur un bout de terre plate
Bienheureux les simples, car ils verront Dieux (ça n’est pas de moi)

Je n’irai pas plus loin dans une hypothèse qui m’échappe un peu
Mais je vous recommande quand même
La lecture d’un petit ouvrage, néanmoins assez grand
Du hold-up de la finance sur les « fous de balles »
En France et ailleurs, dans le monde du football mondialisé

« Comment ils nous ont volé le football »
Editions FAKIR http://www.fakirpresse.info/Commander-le-livre-Comment-ils.html

Pour ceux qui veulent en savoir plus
Et ceux qui resteront peut-être et toujours encore des fous de balles
Et tous les autres, qui se posent encore des questions

Mais les rares exceptions ne confirment pas la règle
Dans ce monde perverti aux dogmes de la finance

Feufollet

URL de cet article 25851
   
L’Espagne dans nos coeurs
Loic RAMIREZ
On a beaucoup écrit sur la guerre civile espagnole et si peu sur ses suites. Refusant la défaite, les républicains ont poursuivi leur combat durant plus de trente ans contre la dictature franquiste. Majoritairement exilés en France, ils ont eu pour principal soutien le parti communiste français et ses militants. Diffusion de tracts et de propagande, campagnes de solidarité, déplacement de clandestins et soutien logistique, les femmes et les hommes du PCF ont prêté main-forte aux "rouges" (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

« Le pire des analphabètes, c’est l’analphabète politique. Il n’écoute pas, ne parle pas, ne participe pas aux événements politiques. Il ne sait pas que le coût de la vie, le prix de haricots et du poisson, le prix de la farine, le loyer, le prix des souliers et des médicaments dépendent des décisions politiques. L’analphabète politique est si bête qu’il s’enorgueillit et gonfle la poitrine pour dire qu’il déteste la politique. Il ne sait pas, l’imbécile, que c’est son ignorance politique qui produit la prostituée, l’enfant de la rue, le voleur, le pire de tous les bandits et surtout le politicien malhonnête, menteur et corrompu, qui lèche les pieds des entreprises nationales et multinationales. »

Bertolt Brecht, poète et dramaturge allemand (1898/1956)

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