Evoquer les dettes de guerre de l’Allemagne est utopique si l’on envisage que des remboursements puissent être effectués.
Mais c’est une manière d’attirer l’attention sur les profits indécents (comparés à la situation économique d’autres états européens) des échanges commerciaux réalisés en 2014 par l’Allemagne (plus de 200 milliards d’€ ).
Et rappeler ainsi que l’Allemagne montre une attitude tout aussi indécente à vouloir se montrer intraitable au sujet de la dette de la Grèce.
C’est bien connu que l’on ne peut pas faire payer les nantis, au risque de leur arracher le coeur.
Il vaut mieux pressurer les plus démunis.