L’IFRAP, bon sang mais c’est bien sûr ! L’IFRAP "est un think tank qui après 30 années de recherches et de publications visant la performance des dépenses publiques, a été reconnue d’utilité publique". Tout est dit !
Décodeur. La performance des dépenses publiques : supprimer des postes de fonctionnaires à tour de bras.
Parmis les grands "combats" de l’IFRAP depuis 1985 car l’IFRAP, elle frappe : L’instauration d’un jour de carence dans la fonction publique, La déduction d’ISF pour les investissements dans les PME (avec, en 2017, la disparition programmée de l’ISF, transformé en IFI)
"Les travaux de la Fondation iFRAP sont effectués par une quinzaine de chercheurs permanents, pour moitié bénévoles. Cette équipe qui possède des compétences variées et pointues en économie, finance, droit, fiscalité, statistiques, est soutenue par un réseau de près de 150 chercheurs, contributeurs et experts qui participent à la conception de nos études. Agnès Verdier-Molinié est directeur de la Fondation IFRAP et Bernard Zimmern est aujourd’hui Président d’honneur."
Décodeur : Verdier-Molinié est payée à temps plein pour son travail de démolition. Les autres le font à titre honorifique, semi-bénévolement. Cette fondation est une coquille vide. C’est juste un organisme nuisible à la population française.
Et l’IFRAP, elle frappe : "en 10 ans, les travaux de la Fondation sont devenus une référence pour les médias. Avec en moyenne plus d’un passage par jour dans les médias, la Fondation iFRAP est la plus sollicitée de tous les think tanks par la presse économique, mais aussi par les radios et les télévisions."
Trop drôle : "Entièrement dédiée à la recherche sur les politiques publiques, la Fondation iFRAP est intégralement financée par la générosité privée". Décodeur : cette organisation de patrons est financée par ceux qui veulent seulement payer moins d’impôts et de charges et pour cela il faut diminuer le nombre de travailleurs rémunérés par l’Etat !!!!
Le charme discret de la bourgeoisie, je cite : "Pour respecter l’esprit originel et la pratique de la Fondation iFRAP, il est décidé que les dons manuels de moins de 200.000€ seront acceptés sans formalités particulières, que les dons manuels supérieurs à 200.000€ seront soumis à l’acceptation du bureau de la Fondation iFRAP qui devra proposer au donateur un encaissement par un notaire et un échelonnement annuel des versements du don ."