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dernier numéro de la revue Raison Présente sur le thème "Critiques du libéralisme économique »

parution du dernier numéro de la revue Raison Présente sur le thème "Critiques du libéralisme économique »

Sommaire du n° 165 (avril 2008) de la revue Raison présente

Dossier : Critiques du libéralisme économique

Présentation

« Laissez faire, laissez passer » ?
Roland Pfefferkorn

Services : vers la fin du compromis social ?
Damien Broussolle

Capitalisme patricien et autoritarisme monétaire
Ahmed Henni

« Zut ! On a encore oublié l’humanisation »
Jean-Yves Feberey

Main invisible : voile de l’ignorance
Jean-Daniel Boyer

Modélisation : une vision baroque du marché du travail
Michel Husson

Concevoir nos sociétés comme polyphasées
Yves Citton

Le libéralisme économique : une utopie réactionnaire agissante.
Nicolas Béniès

Hors-champ

L’avenir du surrationalisme
Jean-Michel Besnier

Funérailles religieuses et laïcité républicaine.
Emile Poulat

Trimestrielles


Raison présente, n° 165, "Critiques du libéralisme économique », 2e trimestre 2008, le numéro : 13,50 €.

Abonnement : 1 an : France : 46 € ; Etranger : 50 € ;

Institutions : 80 € ; Tarif réduit : 30 €


Raison Présente
14 rue de l’Ecole Polytechnique
75005 PARIS
Tel : 01 46 33 03 50


URL de cet article 6650
   
"Pourquoi les pauvres votent à droite"
Thomas Frank
Titre original : What’s the matter with Kansas ? (2004, 2005, 2007) Traduit de l’anglais par Frédéric Cotton Nouvelle édition. Première parution française dans la collection « Contre-feux » (Agone, 2008) À la fin des années 1960, la concurrence internationale et la peur du déclassement transforment un populisme de gauche (rooseveltien, conquérant, égalitaire) en un « populisme » de droite faisant son miel de la crainte de millions d’ouvriers et d’employés d’être rattrapés par plus (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Du vivant des grands révolutionnaires, les classes d’oppresseurs les récompensent par d’incessantes persécutions ; elles accueillent leur doctrine par la fureur la plus sauvage, par la haine la plus farouche, par les campagnes les plus forcenées de mensonges et de calomnies. Après leur mort, on essaie d’en faire des icônes inoffensives, de les canoniser pour ainsi dire, d’entourer leur nom d’une certaine auréole afin de « consoler » les classes opprimées et de les mystifier ; ce faisant, on vide leur doctrine révolutionnaire de son contenu, on l’avilit et on en émousse le tranchant révolutionnaire.

Lénine

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