@ macno
Ces derniers temps, de votre voisinage avec le Saker francophone (c’est taquin), il en ressort des propos qui montrent un air de conformisme avec tout ce qui chante haut ou ne se formule pas selon vos attentes. Une chose peut se voir de différentes façons sans qu’aucune de ces façons ne soit fausse.
Théophraste R., par exemple, n’a certainement pas vu un Cohen Bendit homme, mais un Cohen Bendit représentant ou parangon d’un modèle de société et d’un pays puisqu’il est exposé sur tous les tréteaux, les esplanades, les estrades, les scènes aux mains du pays, de la république ou du peuple en vue d’être vu et admiré, susciter des envies d’émulation, éclairer les consciences, faire réfléchir et stimuler la conscience collective pour se donner de l’ardeur et agir pour les finalités d’un destin commun meilleur. Cohen Bandit l’est-il ? Théophraste R. ne le croit pas et il le dit.
C’est aussi simple que ça, cher macno.
Je ne sais vraiment pas pourquoi on parle encore de cet individu qui n’a pas ou plus aucun intérêt (LA question est : en a-t-il jamais eu un jour ?).
Si on parle de lui, c’est pour ce que je viens de dire. Il suffit de ne pas être là où il est pour que personne ne parle de lui.
Ce qu’il est maintenant par rapport à ce qu’il a été "jadis" risque d’être le lot de beaucoup de monde, ici comme ailleurs. Il faut faire gaffe et donc rester vigilant pour ne pas finir "au bar de l’hôtel des trois faisans, avec Maître Jojo, et avec Maître Pierre... ".
Il n’a pas changé d’un iota, le Bendit est resté le même Bendit ou Bandit du moins sur ce qui peut nous intéresser tous.
Avec de telles analyses "on n’est pas fauché", comme dirait l’autre...Il faudrait plutôt se plonger dans l’analyse factuelle et chronologique de ces "événements", ce n’était pas Maïdan...
Dans le fond, c’est Maïdan, mais 68 a insufflé un tournant à la France dont elle est loin de s’en remettre si on débarrasse ce mai 68 de son folklore, folklore dont on a bien noyé les ressentiments des masses populaires.
Mes amitiés à tous et surtout à ceux-là mêmes qui doivent supporter plus que d’autres nos bavardages sensés ou insensés