Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, vous rappellera cette règle impitoyable : un pays ne peut intégrer l’U.E. s’il n’est pas une démocratie.
Mais, si on (la Grèce, par exemple) l’embête, il ajoute : « Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens déjà ratifiés ».
Comparaison n’est pas raison, mais je pense à Gil Robles, fasciste espagnol, partisan de Miguel Primo de Rivera et de Francisco Franco. Il avait dit : « La démocratie n’est pas pour nous une fin, mais un moyen pour aller à la conquête du nouvel État ».
Comparaison continue à ne pas être raison, mais pensons aux malheureux Bisontins qui seront représentés lundi à l’Assemblée par un émule de Moscovici, du parti « socialiste » (sic, rires, toux, et grrr !) ou par une raciste d’un FN qui, dès qu’il dirige une ville, nettoie les bibliothèques, débaptise les rues, licencie les dissidents, recrute des tatoués au crâne rasé.
Théophraste R.
PS. Avant ça, Besançon a vu naître Victor Hugo, Pierre-Joseph Proudhon et les frères Lumière.