BFMTV, mardi 20 janvier 2015. Chronique d’Apolline de Malherbe. Extraits : « Ce lundi, le parti de la gauche et les écologistes ont fait front commun pour un meeting pro-Syriza ». Oubli : il y avait aussi le PCF, le plus gros parti de gauche (j’ai dit « de gauche » !)
Mots choisis, dont on notera la neutralité :« Infidélité (de Cécile Duflot à EELV), pas d’état d’âme, présence de brebis galeuses du parti socialiste, coalition d’extrême gauche grecque ».
Et pour finir : Le FN soutient Syrisa. « Voila un soutien dont ils devront quand même s’expliquer ».
On ne trouvera hélas pas un journaliste sur une chaîne de télé pour dénoncer ce pamphlet politique partisan et lacunaire.
Le matin même, Jean-Jacques Bourdin, ayant jeté la même collusion FN/ Syrisa à la figure de Jean-Luc Mélenchon, s’entendit répondre que le FN grec gouverna avec la droite et le PS local et que Jean-Marie Le Pen était présent au mariage du patron du parti d’extrême droite grec.
Voilà des faits dont le FN et le PS « devront quand même s’expliquer ».
Mais chuuut !
Théophraste R.
(1) De La Fontaine, « Le singe et le dauphin ». Extrait : « De telles gens il est beaucoup Qui prendraient Vaugirard pour Rome, Et qui, caquetant au plus dru, Parlent de tout et n’ont rien vu ».
C’est donc pour ça que je n’ai jamais réussi à danser le sirtaki avec le Pirée. Tout s’explique...
La grande frousse de Samaras : avant de quitter son bureau de premier ministre, il commande une machine à déchiqueter les papiers ! Voir ici. @ nana mouskouri : le Pirée est bien un homme, puisqu’il a des enfants...
Si vous dites du mal d’Appoline, qui est très belle, je vous botte les fesses au GS !