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C’est dans les vieux pots qu’on fait la meilleure soupe

Ben, oui, en temps de guerre, il faut des militaires, comme chacun sait. Et ce ne doit pas être un hasard si Fidel Castro, Hugo Ghavez et Mouammar Kadhafi en sont. Ce ne doit pas être un hasard si ce sont eux qui résistent le mieux aux tentatives de Coups d’Etat

Une fois dégagés les mensonges du Prix Nobel de la Paix et de ses "douces femmes maternelles" (les horribles mégères, ça a aussi toujours existé) aux commandes de tout ce qui est le plus servile en matière d’armement, une fois la non-violence conçue non plus comme une option mais comme une obligation sinon on est acccusé de "terrrrrorrrrrisme", depuis le 11 Septembre 2001, il y a 10 ans, que reste-t-il ?

Une situation pas brillante : nous sommes en guerre, appelée « paix », « civilisation », « liberté d’expression », et autres balivernes, par le colon. Nous sommes en guerre mais désarmés par des années d’intoxication massive issues de la guerre de "4° génération", car seul le colon a le droit de porter (et piloter, y compris sur son écran) des armes. Comme à l’époque des colonies, sauf qu’à cette époque, les médias d’intoxication massive étaient moins perfectionnés et que certains esclaves ne croyaient pas du tout qu’il était "moral" de ne pas porter les armes. Ils savaient seulement qu’ils seraient fouettés, entravés, mis au cachot, ou mis à mort, si on en trouvait sur eux. Actuellement, seule la culpabilisation suffit souvent !

Que reste-t-il ? Il reste les militaires, qui ont appris les stratégies et les tactiques, qui ont appris les armes, comment on conduit une révolution, comment on prévoit les coups de l’adversaire et y pare, etc.

Les militaires actuels sont en danger de mort, soit par l’âge, soit par l’assassinat, et, pour certains, par les deux. Comme les esclaves qui se sont dressés contre les riches colons.

Que se lèvent beaucoup de militaires, gradés, ou sortis de prison, ou exclus de l’Armée Française, au service de leur peuple et non des banquiers.
Que le peuple veille à cela et, ensuite seulement, sur eux et sur leur vie.

Que ceux qui n’ont pas appris "l’art de la guerre", comme l’a rendu, le premier, mondialement connu Sun Tzu il y a environ 7 000 ans, les écoutent. Il n’y a pas de raison pour que seule existe "l’école des Amériques"

1.3. L’art de la guerre est dirigé par cinq facteurs fondamentaux à prendre en compte dans la réflexion pour gagner la bataille du terrain.
1.4. Ces facteurs sont la morale, le climat, le terrain, le commandement, la méthode et la discipline.

Sun tzu

Les cantinières, alors, sortiront leurs vieux pots, et ceux que leurs ont légués leurs aïeules, pour leur servir de la bonne soupe ! Il n’y aura pas 5 légumes ou fruits différents par jour, mais ceux-ci ne seront pas OGM.

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Histoire et Mystifications. - Comment l’Histoire est fabriquée et enseignée...
Michael PARENTI
Analyste politique progressiste de tout premier plan aux États-Unis, Michael PARENTI, docteur en Sciences Politiques de l’Université de Yale, est un auteur et conférencier de renommée internationale. Il a publié plus de 250 articles et 17 livres. Ses écrits sont diffusés dans des périodiques populaires aussi bien que dans des revues savantes, et ses textes engagés l’ont été dans des journaux tels que le New York Times et le Los Angeles Times. Ses livres et ses conférences, informatives et (…)
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« L’ennemi n’est pas celui qui te fait face, l’épée à la main, ça c’est l’adversaire. L’ennemi c’est celui qui est derrière toi, un couteau dans le dos ».

Thomas Sankara

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