Scène 1
Parfaitement cohérent avec la position française en faveur d’un cessez-le-feu, Macron se prononce pour l’arrêt des livraisons d’armes à Israël. Cet appel vaut pour les autres pays (Etats-Unis, Allemagne…) puisque, précise-t-il, la France n’en livre pas.
Scène 2
Netanyahou (en vérité, ses ancêtres qui cultivaient des champs d’oliviers et de figuiers en Lituanie et en Pologne s’appelaient Mileikowsky, mais il a changé de nom, comme pour entrer dans la Légion étrangère) lui rétorque un truc comme : « Dis-donc, toi, t’as pas honte ? Tu veux que je te dénonce à Braun-Pivet, BHL, Enthoven, Dray ? ».
Scène 3
Macron, le pantalon sur les chevilles : « Attends, Bibi, on va continuer à te livrer les composants nécessaires à la défense d’Israël ».
Scène 4
Brizitte, derrière la porte : « Alors, Poupounet ? »
Macron : « Ayé, maman ».
Théophraste R. Auteur dramatique.