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De Néron à Macron, de Rome à Paris

Nous sommes en juillet 64 à Rome
L’historien romain Tacite s’interroge sur l’incendie qui ravage la capitale : pur accident ou acte criminel à l’initiative de Néron ? Selon des rumeurs l’empereur chantait en contemplant les flammes : il aurait souhaité construire une autre ville et lui donner son nom : Neropolis.

Nous sommes en juillet 2024 à Paris
Le président Macron a mis le feu au pays, carbonisé son parti, liquidé une partie de ses députés, amené une citeRNe d’essence aux portes de l’Elysée et il est parti en chantant les vertus des jeux après lesquels il reviendra pour pisser sur les flammes et ouvrir les portes de Matignon à un pyromane de ses amis.

Selon des témoins il riait en contemplant les dégâts : « Je leur ai balancé ma grenade dégoupillée dans les jambes. Maintenant on va voir comment ils s’en sortent… ».

Mais Paris ne sera jamais Macronpolis et le garnement apprendra qu’on ne jette pas impunément son mégot dans la forêt des landes en allant aux fêtes de Bayonne.

Théophraste R. Pompier bon œil.

URL de cette brève 7501
https://www.legrandsoir.info/de-neron-a-macron-de-rome-a-paris.html
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