<<< Ça risque de s’ aggraver quand " la fille du borgne " sera au pouvoir en 2027 .>>>
La police sionisée française verbalise aujourd’ hui .Après 2027 elle bastonnera comme abib
<<< À la suite de cet événement, Meyer Habib est condamné à deux ans de prison avec sursis et mise à l’épreuve pendant trois ans pour coups, violences volontaires >>>
https://x.com/neruda57/status/1797318224964387009?s=46
Polémiques : la porcherie est pleine :
<<<
Pressions sur la police
En 2014, il tente de convaincre les policiers chargés de sa protection de « convoyer près de 20 000 euros de diamants ». Les policiers ont exercé leur droit de retrait, et ont depuis interdit à Meyer Habib de monter dans leur véhicule de fonction72.
Il a téléphoné le 25 juillet 2015 à un commissariat de police du 19e arrondissement de Paris à propos de mises en examen de membres de la communauté juive ayant agressé deux victimes de confession musulmane. Le policier, qui a relaté l’incident dans une main courante, parle de « pression » et affirme que le député a cherché sa « clémence en vue d’obtenir une levée de garde à vue immédiate ». Habib dément73.
Affaire de la fraude à la TVA sur les quotas de carbone
En juin 2016, les journaux Haaretz et Mediapart font état, dans le cadre de l’affaire de la fraude à la TVA sur les quotas de carbone, de connexions entre Meyer Habib, Benyamin Netanyahou et Arnaud Mimran, ce dernier étant soupçonné par la justice française d’être l’un des organisateurs. Ils mentionnent des documents issus du registre israélien des sociétés concernant Track Performance (une société créée en 2006 par Arnaud Mimran en Israël) qui dévoilent qu’au capital de cette société figure Meyer Habib avec 25 % des parts74,39,75,76,77,78. L’enregistrement de l’entreprise a été assuré par le cabinet de David Shimron (he), l’avocat et ami proche de Nétanyahou2. Selon Mimran, Meyer Habib avait connaissance de tout le système7.
En janvier 2022, Meyer Habib est entendu comme témoin par le juge chargé de l’enquête sur l’assassinat d’une des figures de l’affaire, Samy Souied2.
Altercation au sein de l’Assemblée nationale en 2018
En juillet 2018, Meyer Habib a une violente altercation avec le personnel de sécurité de l’Assemblée nationale. Il se présente à l’assemblée accompagné de quatre personnes et d’un officier de sécurité armé. Ce dernier n’ayant pu présenter de badge d’accès, le chef de groupe a « légitimement expliqué qu’il ne pouvait entrer ». Un peu plus tard, cet officier est revenu accompagné de Meyer Habib et a « délibérément provoqué les agents en ouvrant sa veste pour montrer […] une arme portée à la ceinture »79. Meyer Habib a verbalement pris à partie le chef de groupe en insinuant qu’il était antisémite. Plus tard, à un journal, il explique que les personnes qu’il accompagnait étaient des représentants de l’armée israélienne, invités par la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale dont il est vice-président79.
Ben Ali et Moubarak
Il rend hommage sur Twitter à l’ancien président tunisien Zine el-Abidine Ben Ali, à l’occasion de son décès, en septembre 2019. Il fait de même pour la mort de l’ancien dirigeant égyptien Hosni Moubarak, en février 2020. Dans les deux cas, il emploie l’expression « dictateur certes », ce qui est vu par beaucoup comme une minimisation des souffrances subies pour les peuples tunisien et égyptien. La formule « comme tous les dirigeants arabes » est également dénoncée comme essentialiste et raciste, ses opposants y voyant une formulation qui laisse entendre que le monde arabe est, de par sa nature, destiné à être dirigé par des dictateurs80.
En février 2020, il appelle au boycott touristique de la Tunisie après que le président tunisien, Kaïs Saïed, ait demandé une enquête sur la participation d’un tennisman franco-israélien à un tournoi à Tunis81.
Insultes contre des élues
En février 2020, sur Twitter, Meyer Habib qualifie de « petites connes » les parlementaires Manon Aubry, Clémentine Autain, Esther Benbassa et Elsa Faucillon à la suite de leur participation à une manifestation dansante contre la politique du gouvernement82. Meyer Habib réitère ses propos à l’Assemblée nationale82. Il déplore des actions répétées de « buzz » de la part de l’« extrême gauche » et affirme que le fond de la question est l’« obstruction » des députés de La France insoumise lors des débats sur la réforme des retraites83. Il est en retour accusé de sexisme par des élues de gauche84.
Au sujet de ses fréquents dérapages, Le Monde écrit que « dans le monde politique français, Meyer Habib est une curiosité, presque un folklore à lui tout seul : absolument sans gêne, il éructe, insulte, menace en toute impunité. Il n’a qu’un seul sujet sur lequel il intervient dans l’Hémicycle, en boucle : la sécurité tout court, celle d’Israël et celle des juifs de France en priorité. Tous ceux qui s’opposent à ses vues, proches de la droite nationaliste et religieuse en Israël, promeuvent l’antisémitisme »2.
Anomalies électorales
La consule de France à Tel Aviv, Florence Mayol-Dupont, met en cause dans une note adressée à la Direction des Français à l’étranger et de l’administration consulaire (DFAE) le déroulement des élections législatives de 2022 dans la circonscription de Meyer Habib, faisant état de « pratiques dont la légalité pourrait être questionnable ». Le député sortant aurait ainsi mis en place des bus auprès des synagogues lui étant acquises afin d’encourager les électeurs à aller voter et permis l’ingérence d’élus de municipalités étrangères dans l’organisation d’élections françaises85.
Le 3 février 2023, le Conseil constitutionnel annule son élection, lui reprochant notamment des publications appelant à voter pour lui le jour même de l’élection et une permanence téléphonique, où des opérateurs pouvaient voter à la place des électeurs33,86.
Intérêts économiques non déclarés
En 2021, l’émission de France Inter Secrets d’info indique que Meyer Habib, s’il a bien déclaré ses liens économiques avec la société de joaillerie Vendôme à Paris, est également l’actionnaire de trois sociétés de droit israélien et n’a pas déclaré en France ces intérêts économiques, alors qu’il en a l’obligation légale87.
Soupçons de détournement de fonds
En novembre 2022, une enquête pour détournement de fonds publics visant Meyer Habib est ouverte et confiée à l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF)88,89. Ses bureaux de l’Assemblée nationale sont perquisitionnés le 29 novembre 20222,7. L’enquête fait suite à un signalement de TRACFIN, et aurait trait à des irrégularités dans la rémunération de ses collaborateurs parlementaires90.
Apologie de crimes de guerre
Le 20 octobre 2023, il qualifie la population de la bande de Gaza de « cancer »91.
Lors de la séance du 19 décembre 2023 à l’Assemblée nationale, alors que le député de La France insoumise Éric Coquerel intervient sur la situation à Gaza lors de la guerre Israël-Hamas de 2023 en déclarant : « Qui peut douter maintenant des véritables objectifs de guerre du gouvernement Netanyahou qui, après le nord, bombarde le sud de la bande de Gaza, là où il avait précisément demandé aux Palestiniens de se réfugier ? », Meyer Habib lance : « Et ce n’est pas fini ! ». Le député communiste Stéphane Peu réclame immédiatement « des sanctions », mais Éric Coquerel poursuit son propos : « Qui peut douter maintenant qu’il s’agit moins d’éradiquer le Hamas que d’en finir avec la bande de Gaza et la Cisjordanie, en tant que territoires palestiniens ? ». Meyer Habib lance alors une seconde fois : « Et c’est pas fini ! »92. Le surlendemain, trente-neuf députés de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (NUPES) demandent la levée de son immunité parlementaire pour « apologie de crimes de guerre »93. Leur demande est promptement rejetée par la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet94.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Meyer_Habib#Biographie