Quel enseignement tirer de la décapitation de Samuel Paty, le professeur d’histoire-géographie par une sous-merde d’allah le miséricordieux (sic) ?
Abdelhakim Sefrioui, au nom du « Conseil des imans de France, et des musulmans en France » (qu’il dit, cet étron), a diffusé une vidéo où il demande à l’administration du collège la suspension de « ce voyou au comportement irresponsable et agressif ».
Le père de l’élève dénonciatrice, une menteuse de 13 ans (1), tient le même discours avec les mêmes mots.
Un bras a été armé. Un proverbe dit « Tu peux mourir du venin, mais c’est le serpent qui t’a tué ».
La triste conclusion de ce drame est magistralement donnée en une minute par Noam Anouar, délégué du syndicat Vigi-Police qui dit que « « L’islamisme a gagné de longue date. Des post-adolescents terrorisent la France » et il prédit qu’aucun prof d’Histoire ne montrera à ses élèves une photo du prophète (re-sic).
Aucun de mes lecteurs ne le contredira en affichant une caricature du phropète mésiricrottedieu sur le tableau de bord de sa voiture et je m’abstiens de la publier ici par crainte d’une bombe devant les locaux du Grand Soir (55, rue du Faubourg-Saint-Honoré, 75008 Paris) ou au domicile de notre Webmaster (un grand bâtiment, Place Beauvau 75008 Paris).
Cela dit (ou redit, parce que je l’ai lu ailleurs) : La classe politico-médiatique française choisit toujours la cause américaine : oui aux bombardements des pays arabes qui ne nous ont rien fait, soutien à un pays colonialiste d’apartheid qui vole les terres des arabes (Israël), soutien en Syrie aux « Rebelles » (re-re-sic) fous d’Allah contre Bachar el Assad, soutien aux mêmes fanatiques en Tchétchénie contre Poutine, soutien aux terroristes djihadistes ouïghours contre Xi Jinping.
Les « chiottes » dans lesquelles Poutine avait promis de traquer les assassins tchétchènes avaient une fenêtre à l’arrière par laquelle il en a laissé échapper un paquet qui sont venus opérer à Dijon et à Conflans-Sainte-Honorine. Ce n’est qu’un début.
Théophraste R. Scatologue et lecteur de Lydie Salvayre qui a popularisé dans « Pas pleurer » (prix Goncourt) ce juron : « Me cago en Dios ! ».
Note (1) en ajout au billet initial : l’élève choquée par le dessin du prophète nu était en réalité absente et n’a donc rien vu.