Ndiaye a dit : « J’assume de mentir pour protéger le président de la République ».
Jean-Michel Prêtre a avoué avoir menti, quand il était procureur de Nice, pour ne pas embarrasser le président de la République dans l’affaire de la charge des CRS qui avait blessé Geneviève Legay.
Christophe Castaner a menti quand il a accusé les Gilets Jaunes d’avoir attaqué l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière le 1er mai 2019.
Agnès Buzyn a menti le 20 janvier en disant que le risque d’arrivée du virus était faible et que nous étions prêts.
Edouard Philippe a menti quand il a dit que le conseil des ministres exceptionnel du 29 février était consacré au Covid-19 alors que l’ordre du jour secret était la réforme des retraites par l’usage surprise (un samedi) de l’article 49-3.
Olivier Véran a menti sur l’utilité des masques faciaux.
Eliane Houlette, procureur chargé de l’affaire Fillon vient d’avouer qu’elle mentait quand elle affirmait ne pas recevoir de pressions du parquet et du gouvernement.
Nicole Belloubet a menti en faisant sa déclaration de patrimoine (« oubli » d’une maison et de deux appartements).
Nicole Belloubet a menti en disant qu’elle n’était pas au courant de la programmation des perquisitions chez Jean-Luc Mélenchon et dans des locaux de la France Insoumise (17 perquisitions simultanées).
Julien Bayou, secrétaire national d’EELV a menti en disant que le procès de Bobigny contre Jean-Luc Mélenchon et son entourage (suite aux perquisitions) n’était pas politique (1).
Emmanuel Macron, candidat, mentait quand il a disait qu’il ne toucherait pas aux retraites ni à leur montant.
François Hollande a menti quand il a déclaré que son adversaire était la finance.
Manuel Valls, oh non, pas lui ! Myriam El Khomri, beurk, assez, assez… !
Et moi, je mentirais si je prétendais voter pour l’un ou l’autre des menteurs.
Théophraste R. (Pinocchiophobe).
Note (1). Bayou a déclaré aussi : « Je me réjouis que notre pays soit capable de juger ses responsables politiques ». Les perquisitions ont eu lieu le 16 octobre 2018 en plusieurs endroits du territoire. Elles ont mobilisé cent policiers et une dizaine de « parquetiers ». Les résultats se font attendre.