Qui est responsable de cette mixture sinon vous tous qui « choisissez » ? Orgueilleux ignorants !
Savoir, c’est déjà se rebeller, dit Jacqueline Kelen. Mais d’abord il faut savoir.
Le pouvoir politique, tout comme le pouvoir religieux, se fonde volontiers sur l’ignorance du peuple et s’accroît d’autant que les esprits sont faibles, les gens incultes.
« le socialisme » est la conséquence et l’altération grossière d’un mouvement historique féministe, le saint-simonisme. Mais le public ne l’a pas compris.
Fourier le reprit, dans la Phalange, et il se fondit dans le fouriérisme qui le modifia, le masculinisa et en fît « le socialisme ».
Là encore, nous voyons l’avortement d’un mouvement féministe, et sa transformation au profit de l’homme, comme l’avait été, 50 ans avant, le grand mouvement de la Révolution française.
Ce sont ces transformations de l’idée pure qui stérilisent les grandes impulsions données de temps en temps par les femmes, ou par les féministes.
Il se trouve toujours un homme plus audacieux que les autres, qui adopte l’idée lancée et la dénature.
Là est le secret de l’avortement de la Révolution française.
Là est le secret, aussi, de la stérilité du socialisme moderne.
La France est-elle réellement un État socialiste aujourd’hui ?
Bien sur que NON !
Les autorités politiques en charge de la France relaient avec zèle, voire même anticipent, l’agenda mondialiste.
La politique généreusement appliquée sur le territoire français est « globaliste », et fait, à ce titre, fort peu de cas des petites gens et des petites et moyennes entreprises pour, au contraire, laisser la part du lion aux multinationales et à leurs propriétaires anonymes.
En conclusion, la France qui n’a aucune politique, et encore moins de politique socialiste, dans le sens « social » du terme, est en revanche l’un des principaux fers de lance de l’agenda globaliste, lequel prospère sur le développement de la misère humaine.