Le pire des châtiments et LA question...
Après vous avoir injuriés, éborgnés, mutilés, défigurés, tabassés, gazés à volonté, embastillés...
Après avoir agenouillé vos enfants
Après vous avoir méthodiquement appauvris en détricotant vos acquis
Après vous avoir désignés comme des égoïstes tenant à leurs privilèges et en vous faisant croire qu’ils vont vous épargner
Macron et sa clique ont décidé avec cette « réforme des retraites » d’aller encore plus loin dans le châtiment des dominés par les dominants en inscrivant dans « les tables de la loi » du système capitaliste pour vos enfants et petits-enfants, leur condamnation -avec votre aval- à la pauvreté à vie : le minimum, 1000 euros/mois, s’ils ont trimé en silence toute leur « vie » !
Pour les dominants, leurs chiens de garde et descendants la belle vie tout au long de leur vie
Pour les dominés, enfants et petits-enfants, la précarité de la naissance à la fin de leur survie...
Jusqu’à quand certains vont-ils rester aveuglés -par leur jalousie maladive et leur individualisme- pour ne s’intéresser qu’au régime « spécial » d’un cheminot et refuser de voir les vrais privilégiés de la République : les 4 anciens présidents nous coûtent 2.500.000 euros/an, Jean-Paul Delevoye -l’homme qui oublie- en plus de 10000 euros et de 4 retraites cumulées et..., par mois et Carlos Ghosn l’ex-patron de Renault qui touche plus de 45000 euros/JOUR pour ne citer que ces cas.
Et LA question qui se pose à chacun(e) de nous est : peut-on laisser notre destin et celui de nos enfants et petits-enfants entre les mains de voyous, de truands et d’assassins...
• D’une prostituée nommée Macron qui séduit les grands patrons -je cite : « On est comme une sorte de prostituée. Le job, c’est de séduire »-, livre les intérêts du peuple de France à des rapaces et sa sécurité à des GRAV (Groupe de Répression Armé et violent) à l’image de Benalla.
• D’un boucher nommé Castaner célèbre pour ses brutalités, ses mensonges répétés et ses fréquentations de gangsters
• D’une crapule nommée Lallement, un dérangé et nostalgique des camps ?
• D’un hors la loi nommé Delovoye, qui nous a concocté une « réforme historique »...
Oui le pouvoir a peur de sa police milice... et surtout de ses maîtres puissants, les rapaces de la finance et les grands patrons...
Mais ces « puissants » ont peur des femmes et hommes libres incorruptibles qui n’ont pas peur.