Dans son éditorial du 21 septembre, Catherine Nay nous parle de Jean-Luc Mélenchon, fasciné par Chavez, président du Venezuela, une dictature (venezuelââââ !), desa colère homérique, ses cris de rage, sa fureur quasi pathologique (Belloubet parle, elle d’une autre maladie : la paranoïa), de ses outrances, de ses vociférations, de son tempérament trop sanguin, cause de son déséquilibre.
La charge de la quasi octogénaire (1) est si violente, que la version écrite donnée par Europe 1 en élague des passages.
Exemples :
1- Version écrite : « C’est vrai qu’il était chauffé à blanc : une heure plus tôt, des policiers l’avaient sorti de son sommeil et il n’était pas seul ».
Ce qu’elle a dit : « C’est vrai qu’il était chauffé à blanc : une heure plus tôt, des policiers l’avaient sorti de son sommeil et il n’était pas seul dans son lit… ».
2-Version écrite : « … il est allé visiter dans sa prison l’ex président brésilien Lula, qui purge une peine de 8 ans et 10 mois pour corruption, parce qu’il se croit comme lui victime du pouvoir politique.
Ce qu’elle a dit : « … il est allé visiter dans sa prison l’ex président brésilien Lula, qui purge une peine de 8 ans et 10 mois pour corruption. Et il y est allé pourquoi ? Mais pour pleurer sur lui-même, parce qu’il se croit comme lui victime du pouvoir politique.
3-Version écrite : « Peut-être avait-il besoin de ce tohu-bohu pour…. »
Ce qu’elle a dit : « Peut-être avait-il besoin de ce tohu-bohu, de ce procès pour…. »
Eh oui, le forcené de LFI avait besoin de ce procès, il l’a souhaité, il s’y est régalé, il en redemande, il adore entendre Dupont-Moretti hurler (mais calmement, hein !) pendant les audiences : « Energumène, tête de nœud, ferme-la, toi… ».
Théophraste R. Chef-adjoint provisoire de l’ONG omnidirectionnelle : « Editoriaux sans censures, procureurs sans impostures, policiers sans parjures, avocats sans injures ».
Note (1). Je m’amuse à faire ici comme naguère Dupont-Moretti vieillissant un peu Balkany pour mieux servir sa démonstration.