Heureusement, @ Assimbonanga, il y a un juste retour des choses certes relatif.
Des citadins se rendent compte de l’impasse qu’est leur vie. De ce fait, ils se renseignent, font des stages, et tentent un retour à la campagne dans des conditions plus difficiles, mais au bout du compte plus gratifiantes. Ça marche, ou pas.Sans une petite mise de départ sûre, c’est voué à l’échec. En revanche, avec un petit pécule et beaucoup de courage, je sais par exemple que mon fils veut tenter le coup, alors qu’il est fonctionnaire. Quitte à trouver une bicoque en montagne, pas chère, et élever des poules et des moutons, faire pousser ses légumes... et peindre à ses moments de loisir. Loin du bruit, des voitures, de la pollution, de la publicité....
Toutes ces personnes parties, les villes elles-mêmes peuvent finir par s’assainir si les édiles n’ont pas la folie des grandeurs (hélas, j’en connais). Le pire qui puisse arriver, c’est la smartcity ultra-polluante en ondes électromagnétiques, qui fait rêver certains maires complètement hors-sol, en particulier dans certaines grandes villes.