Ruquier, un découvreur de talents

La lettre du frère Moix est assez poignante et convaincante. Sans compter que Yann Moix l’accuse de deux choses intéressantes qui tendent à le confirmer : "balance" (quand il s’agit de révéler que Yann Moix a fait des dessins clairement antisémites, c’est cocasse -on parlerait davantage de résistant dans ce cas-là- et donc... il admet en fait que son frère a dit la vérité !) et "raté" (pour un écrivain avec quelques succès, réalisateur pour Arte et journaliste chez Sciences et Avenir, qui a produit des documentaires intéressants sur Renoir, Dewaere et Truffaut, c’est quand même loin d’être un raté - contrairement à son frère qui dégobille sa haine et ses problèmes psychiatriques dans des tirades indigestes grâce à Ruquier-). C’est fou de voir avec quelle aisance, les crevures de son genre, ultra-médiatisées, peuvent déverser leur fiel sans balayer devant leur porte. Comme si les plus fielleux étaient les plus mer****.
Bref, y’a effectivement là une ressource des mouvements alternatifs à envisager un peu plus pour faire tomber ces "idôles" pourries : ils déversent des torrents de boue, on leur (res-)sort leurs poubelles de manière coordonnée.

Moix un vendu au service du pouvoir et 100 % misogyne ? On en doutait ?
Petit ajout personnel Patty Smith est une excellente chanteuse mais une femme politique hors sol. Dire en plein Olympia que le guignol de la république française est écologiste mérite le podium des sottises de l’année.

Salamé et l’autre membre du PEEF ne relevant le niveau qu’en apparence.
Mais qu’attendre de bon de la télé, à par la diffusion d’un épisode de Hercules Poirot, maintenant que les GP moto sont sur canal +

Rouquier : qui c’est ?? jamais vu, connais pas....

Ce qu’il y a d’étonnant avec le cas Ruquier c’est la propagation de sa personne sur plusieurs médias et surtout sa durée. C’est de l’humour à 2 balles, qui est daté car il fait penser à celui pénible des chansonniers. Il est vrai que c’est conforme à l’esprit du temps : quelques égratignures ici ou là mais qui fondamentalement conforte le système. La preuve : ses chroniqueurs.

@f. de Marseille
Je ne répugne pas non plus à un Cremer/maigret plus vrai que nature ou E. Moss ébourrifante aussi bien dans top of the lake saison 1 (intéressante satyre du policier pervers) et la servante écarlate dystopie prophétique et édifiante.

"Découvreur de talents" !
On a failli y croire !