La presse, comme la flicaille, est un des deux piliers sur lesquels ce pouvoir chancelant s’appuie encore. Retirez-le, et toute cette clique malfaisante ne tiendrait pas une journée. Rien d’étonnant à ce que ces "journalistes", tous élevés à la même école (c’est à dire celle de l’obsequiosité, du cirage de pompes et du "surtout ne pas déplaire à ceux qui nous font bouffer"), se soient naturellement érigés en véritables remparts d’un pouvoir illégitime, amoral et pour tout dire méprisable. Il faudra s’en souvenir, quand le vent tournera. Ils devront rendre des comptes, tous autant qu’ils sont.