J’étais à Caracas quand, au lendemain d’élections, gagnés par les Bolivariens, mais moins nettement que lors des élections précédentes, Chavez a mis les Vénézuéliens en garde en leur disant qu’un échec ne serait pas en retour à la situation d’avant, mais une vengeance, une répression. C’est cette répression que la droite prépare sous notre nez par la violence, avec la bénédiction des médias (dont les nôtres) et des politiciens (dont Valls, c’est dire !).
MV